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 #1347, Home Sweet Home

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Silas S. Ederman
Silas S. Ederman

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MessageSujet: #1347, Home Sweet Home    #1347, Home Sweet Home  EmptyJeu 14 Jan - 21:08
Home Sweet Home
Maybe our old wounds teach us something. They remind us where we’ve been and what we’ve overcome. They teach us lessons about what to avoid in the future. That’s what we like to think. But that’s not always the way it is. Sometimes there are things we just have to learn over again.


Silas frappa à la porte. Quelle heure pouvait-il bien être ? Il fouilla dans la poche de sa veste à la recherche de son portable, puis regarda l’écran: 4h36.  Merde. Peut-être ne serait-il pas là pour lui ouvrir ? Si c’était le cas, c’était vraiment la soirée la plus merdique de sa vie.  Il frappa une nouvelle fois, plus fort, tentant de regarder par le judas (sachant que depuis le temps, tout le monde devrait savoir que c’est quelque chose d’impossible). « Putain Riley, ouvre ! » s’exclama-t’il, quoi qu’il baissait quand même un peu la voix pour ne pas réveiller les voisins. Au moment où il s’apprêtait à tambouriner une nouvelle fois à la porte, des petites tâches rouges tombèrent sur le sol, attirant son regard. « Merde… » souffla-t’il en grimaçant. Il renifla et leva la tête en se tenant le nez. Putain de bagarre à la con ! C’est qu’ils lui avaient défoncé la gueule ces abrutis de bourges ! La porte s’ouvrit, le découvrant dans sa position bizarre. Silas baissa les yeux pour croiser le regard de Riley. « Réjouis-toi, tu gagnes ta place au paradis en accueillant un blessé dans ton humble demeure ! » dit-il en lui donnant une tape sur l’épaule. Sans même attendre une quelconque réponse, il passa à coté de lui pour rentrer dans l’appartement. « Désolé, j'ai foutu du sang sur ton tapis d'entrée. T'as pas un truc pour calmer l'hémorragie ? Il faut faire vite parce que je crois que dans deux secondes t'auras la mer rouge et son écosystème tout entier qui vont venir investir ton appartement » dit-il, en s'arrêtant de marcher pour s'immobiliser au milieu de la pièce. Il avait l'air stupide comme ça, la tête en l'air et la main couvrant la partie inférieure de son visage. Maintenant qu'il y pensait, mieux valait éviter d'étaler un peu plus son ADN partout dans l'appartement. Il ferma les yeux, tentant de ne pas penser au sang qui s'écoulait entre ses doigts. Dans l'immédiat, il n'avait pas mal, mais il se doutait que les choses n'allaient pas tarder à changer: des picotements commençaient à se faire sentir et il savait que la douleur serait présente dans moins d'une heure. Il avait tout intérêt à prendre des clamants maintenant.  
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Riley L. Morris
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MessageSujet: Re: #1347, Home Sweet Home    #1347, Home Sweet Home  EmptySam 23 Jan - 18:04

FEAT. Silas S. Ederman
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Le premier truc que j'entends, c'est le concerto de miaulements des boules de poils qui veulent pas se la fermer. Y a la télé en fond aussi, que j'ai laissé tourner avant de m'endormir comme une merde sur le canapé. C'était calme, ce soir, sans Bellamy à l'appart'. Les cartons du thaï sont partiellement renversés sur la table basse et sur le sol, et je suis prêt à parier que certains des chats ont tapé dans les restes comme des enfoirés, alors qu'ils savent qu'ils ont pas le droit. Je grogne un peu alors que j'étends les bras au dessus de ma tête, mon dos craquant tandis que je m'étire.
Le second truc qui parvient jusqu'à mes oreilles, ce sont les coups frappés sur la porte, m'arrachant un putain de soupir. Je me lève du canapé, attrapant mon téléphone au passage pour regarder l'heure à laquelle on me dérange. Même pas 5h. Bordel. C'est pas humain, ce genre de choses. Je me traîne jusqu'à la porte d'entrée, manquant de me prendre les pieds dans les extrémités de mon jean qui est un peu trop bas pour quelqu'un d'aussi enclin à se blesser que moi.
Je m'emmerde pas à vérifier qui est derrière, je me contente de défaire la chaîne et les verrous qui bloquent l'ouverture de la porte, avant de la tirer un peu vers moi, de passer la tête pour voir qui est l'emmerdeur. C'est comme ça que je me retrouve encore à moitié endormi face à Silas qui pisse le sang du nez et qui force presque le passage, alors que je me laisse gentiment faire sans râler, le laissant rentrer et fermant la porte derrière lui sans un mot.

J'acquiesce un peu mollement de la tête quand il me demander des trucs pour ses règles nasales, avant de m'approcher de lui et de le forcer d'une main à l'arrière de sa tête à pencher celle-ci en avant.

Garde ta tête comme ça, ça t'évitera de finir par gerber. Assied-toi.

J'ai la voix encore rauque à cause du sommeil, et je m'éloigne en tentant de m'éclaircir un peu la gorge, filant vers la cuisine. Avec les années, j'ai récupéré tellement de trucs que je pourrais ouvrir une putain de pharmacie à moi tout seul, mais ce soir c'est pas que de médocs dont il a besoin. Sortant le bac à glaçons du congélo, j'embarque au passage un des torchons et retourne au canapé.

Tu sais qu'aux urgences ils seront plus efficaces que moi ? Tiens, tiens ça contre ta narine, ça aidera à calmer les saignements. Le torchon c'est pour éviter de tout dégueulasser. Je reviens, je vais te chercher de l'arnica et du paracétamol.

Y a un moment dans ma vie où tout ça est devenu un réflexe, à la limite de l'instinct de survie. Savoir comment réagir à la moindre blessure, peu importe comment j'ai pu me la faire. Sans ça, j'aurais fini par avoir des dettes de taré à force d'aller voir un médecin en plus de mes séances hebdomadaires, mais je serai surtout dans un putain de sale état. Je pose les boîtes et le verre d'eau que j'ai rempli en passant sur la table basse, m'asseyant à côté de lui, les coudes sur les cuisses.

Raconte ?

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MessageSujet: Re: #1347, Home Sweet Home    #1347, Home Sweet Home  EmptyLun 1 Fév - 10:44
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Maybe our old wounds teach us something. They remind us where we’ve been and what we’ve overcome. They teach us lessons about what to avoid in the future. That’s what we like to think. But that’s not always the way it is. Sometimes there are things we just have to learn over again.



La porte s’ouvrit, découvrant un Riley Morris à peine éveillé, le yeux encore a demi fermés. Silas le poussa sans la moindre gêne, comme s’il rentrait dans sa propre maison et que le jeune homme en face de lui n’était rien d’autre qu’un invité. Maintenant sa tête en arrière pour éviter d’inonder le salon d’une flaque écarlate, il finit par fermer les yeux, faisait tout pour éviter de penser au sang qui s’écoulait entre ses phalanges. Il avait horreur de la vue du sang. C’était quelque chose qui le répugnait au plus haut point. D’ailleurs, il avait tendance à flipper comme une chochotte quand il en voyait. « Garde ta tête comme ça, ça t'évitera de finir par gerber. Assied-toi. » dit Riley en poussant sa tête en avant. Silas sentit un flux étrange lui traverser la tête, puis vit trouble pendant un seconde, ce qui ne lui plut pas du tout. La douleur commençait à venir doucement, mais sûrement. « Aïe ! J’ai la tête qui va imploser » protesta-t’il en plissant les yeux. Il se força à ouvrir un oeil quand il senti quelque chose frôler le bas de son pantalon. Les chats. Il avait oublié ce détail. Combien en avait-il encore ? Il était incapable de le dire, il ne retenait jamais ce genre de choses. Il n’avait rien contre les chats, mais les animaux et lui ce n’était pas vraiment l’amour fou. Il préférait les laisser dans leur coin.  Riley partit en direction de la salle de bain et revint une minute plus tard. « Tu sais qu'aux urgences ils seront plus efficaces que moi ? Tiens, tiens ça contre ta narine, ça aidera à calmer les saignements. Le torchon c'est pour éviter de tout dégueulasser. Je reviens, je vais te chercher de l'arnica et du paracétamol. » lui dit-il, toujours d’une voix ensommeillée. Et il repartit. « Merci doc. Les urgences ? Je serai diplômé, marié et père de famille qu’ils ne se seront toujours pas occupés de moi. Ça prend trop de temps » dit Silas en s’asseyant sur le canapé de son ami et en appliquant ce qu’il lui avait apporté sans rechigner. Riley revient avec les boite de médicaments. Il en prit quelques un en grimaçant puis se saisit à nouveau du torchon et la poche de glace pour calmer son nez endolori. Riley attendait qu’il lui donne un explication. Par où commencer ? « Une embrouille avec un mec de Columbia. Je me suis foutu d’une fille, mais je pouvais pas savoir que c’était sa copine. Ça se lit pas sur le visage ces trucs là… » dit-il en se remémorant la scène. Bon, qu’on se le dise: ce n’était pas exactement comme ça que ça s’était passé. La vérité, c’est qu’il l’avait bien cherché, mais compte tenu de son état, il n’avait pas envie de s’infliger des remords. « Il m’a éclaté la gueule avec le ramequin des biscuits apéritif. Le ramequin apéritif putain ! J’aurai été un moins vexé si ça avait été avec le saut à champagne, mais il l’a même pas utilisé ce connard, résultat: je me retrouve avec des cheetos plein la gueule » dit-il d’un ton agacé, même si au fond, il savait qu’il allait en rire dès le lendemain au réveil, ou plutôt dans trois jours, quand la douleur serait passée. Il jeta un coup d’oeil à Riley et son pantalon un peu trop bas, peut-être mis à l’arrache pour lui ouvrir. « Ça t’arrive de dormir parfois ? » demanda-t’il avec culot, ce qui le faisait bien rire sachant que c’était peut-être à cause de gars comme lui que le pauvre ne pouvait pas faire une nuit complète et sereine.

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MessageSujet: Re: #1347, Home Sweet Home    #1347, Home Sweet Home  EmptyLun 29 Fév - 22:35

FEAT. Silas S. Ederman
Codage fait par ©PAINDORE sur APPLE SPRING △ 503 mots.

Sa remarque sur les urgences est pas tout à fait fausse... J'y ai un abonnement, donc généralement je passe pas trop tard parce qu'ils me connaissent bien là bas et qu'il faut pas trop trop déconner avec mon état, mais les premières fois c'était assez hardcore, avec les heures et les heures d'attente, le fait que je me vidais sur le sol de l’hôpital en attendant qu'ils bougent enfin leur cul pour venir voir. C'est sympa, le concept d'urgences, dans ce genre de cas. C'est toujours moins urgent que le café de la pause ou ce genre de conneries...

J'acquiesce doucement de la tête quand il commence à me raconter, l'incitant à continuer. C'est vrai que tant qu'ils se roulent pas des pelles, c'est parfois bien compliqué de savoir que deux personnes sont en couple. C'est marrant, il aurait pu me dire « j'ai essayé de la draguer », il aurait surement fini dans le même état. Mais nan, cet abruti s'est fait baigner parce qu'il s'est foutu ouvertement de quelqu'un. Il est aussi con que moi, des fois. J'imagine que c'est pour ça qu'il vient souvent squatter le canap'. Enfin, en partie pour ça, doit y avoir d'autres trucs.

Un ramequin...

Il a l'air franchement emmerdé et vexé en me racontant ça, et je peux pas m'empêcher de me marrer en entendant la manière dont il s'est fait péter le nez. On va mettre ça sur le compte de ma fatigue, du fait que je sois qu'à moitié réveillé, hein. Qu'il le prenne pas mal. Même si en soi, adieu l'honneur, dans ce genre de situation.
Il me fixe un peu, finit par me poser une question qui m'arrache un haussement de sourcil, un espèce de soupir pas loin de l'amusement, mais sur le chemin de l'agacement aussi, un truc un peu chelou qui veut dire plein de choses et aucune en même temps.

Ben écoute, ouais, c'était le cas avant que tu viennes frapper à ma porte comme un putain de damné. Mais c'est pas grave en soi, il est...

Je re-regarde l'horloge, profitant de ce court moment pour bailler à m'en décrocher la mâchoire, avant de secouer rapidement la tête pour essayer de me la sortir du coltard.

Tard, ou tôt, comme tu veux, et je dois être au taff dans pas si longtemps que ça... Mettons que si je tue quelqu'un pendant la journée, ça sera de ta faute, okay ? Parce que c'est ce que je vais dire à mon patron, autant que tu le saches...

Y a peu de chances que je tue quelqu'un vu mon taff, ou même le fait que j'y vais à pied, mais bon, on sait jamais...

Par contre te fait pas à tout ça, okay ? Prends pas l'habitude de te pointer avec le nez défoncé, parce que de un, tu vas finir avec la gueule d'un boxeur qu'a perdu un paquet de combats, de deux, tu crèveras sur le pas de ma porte parce que j'ouvrirais pas.

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MessageSujet: Re: #1347, Home Sweet Home    #1347, Home Sweet Home  EmptyMer 23 Mar - 21:42
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Maybe our old wounds teach us something. They remind us where we’ve been and what we’ve overcome. They teach us lessons about what to avoid in the future. That’s what we like to think. But that’s not always the way it is. Sometimes there are things we just have to learn over again.

« Un ramequin… » Riley rit légèrement, ce qui fit hausser un sourcil à Silas. Il n’y avait rien de très marrant pour lui, surtout qu’il avait mal et que ça allait s’annoncer très douloureux pour lui dans les jours qui suivraient, mais il reconnaissait que la situation dans lequel il s’était fourré n’avait rien de banal. Ce n’était pas la première fois qu’il se foutait dans la merde, mais d’habitude il arrivait à s’en sortir par une pirouette, une chance inouïe ou via un sauveur intervenant en dernière minute. Là, contrairement à d’habitude, rien de tout ça ne c’était produit. Comme il aimait voir les choses du bon coté, il préférait tirer de tout ça une leçon mémorable: la prochaine fois, il vérifiait qu’il n’y aurait aucun ramequin à proximité, ni autre objet susceptible de fracasser son nez. « Ouais, un ramequin comme tu dis. Comme quoi, ce truc peut tuer des gens. Je ne sais pas dans quel état je serais demain, mais si tu n’as pas de nouvelles de moi d’ici deux jours, appelle une ambulance » exagéra-t’il sciemment. Il retira avec précaution le torchon que venait de lui donner son ami et écarquilla les yeux quand il vit son sang sur le tissu. Un haut le coeur le traversa et il exerça à nouveau une pression sur son nez pour s’épargner le spectacle. Il prenait sur lui pour ne pas y penser, mais le gout du sang descendait dans sa bouche. Voulant à tout prix penser à autre chose, il regarda la mine fatiguée de son ami et en profita pour lui demander avec culot s’il parvenait à passer des nuits normales. « Mettons que si je tue quelqu'un pendant la journée, ça sera de ta faute, okay ? Parce que c'est ce que je vais dire à mon patron, autant que tu le saches… »  dit Riley dans un bâillement. Silas sourit, mais lâcha directement un grognement. Cette connerie de ramequin pugilat l’empêchait maintenant d’avoir plusieurs expression du visage sans sentir une douleur aiguë lui traverser le crâne. « Peut-être que je passerais te rendre une petite visite de courtoisie. Juste histoire de t’encourager » répondit-il avec un air malicieux. Si jamais il faisait une chose pareille, ce ne serait certainement pas pour faire le client modèle, mais heureusement pour Riley, il avait autre choses à faire que de l’emmerder à ses heures de travail, et de toute façon il avait comme impression qu’il ne serait pas d’humeur vu comment son visage commençait à le lancer. « Par contre te fait pas à tout ça, okay ? Prends pas l'habitude de te pointer avec le nez défoncé, parce que de un, tu vas finir avec la gueule d'un boxeur qu'a perdu un paquet de combats, de deux, tu crèveras sur le pas de ma porte parce que j'ouvrirais pas. » dit Riley. Silas tourna lentement la tête de gauche à droite, prenant un air faussement dépité. « J’adore ton sens de l’amitié. Avec toi, on sent qu’on peut traverser les épreuves difficiles. C'est grâce à des mecs comme toi qu'on vit dans un monde meilleur   » se moqua-t’il en levant le pouce en l’air. Silas s’assit dans le canapé et soupira. Un chat passa à coté de lui et il le regarda d’un oeil méfiant. Ces animaux là pouvaient être aussi agréables que détestables. Imprévisibles était le mot juste. Il s’étendit et prit ses aises dans l’appartement de son ami avant de lui jeter un regard distrait. « Sinon toi, ça va ? Depuis le temps qu'on s'est pas vu, tu dois avoir des choses à me raconter... J'ai entendu pas mal d'histoires à ton sujet d'ailleurs. » dit-il en jetant un oeil l’horloge. « Vu l’heure, tu ferais mieux de rester éveiller. Ca servirait à rien de te recoucher. Et puis je suis un invité de marque tout de même »


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