We made a mistake, right ?
Carlie & Alec

La journée, comme d’habitude, j’étais allé courir au parc, histoire de bien commencer la journée. C’était les rituels, se lever assez tôt, mettre un short un t-shirt prendre de la bonne musique et partir courir, j’avais même pris mon chien avec moi. J’adorais courir avec mon chien, j’avais réussi à faire en sorte qu’elle ne parte pas au loin et qu’elle reste auprès de moi. Puis après nous étions revenus tranquillement, à mon appartement, pour que je puisse me préparer afin d’aller coffrer des méchants. Donc, je prenais une douche bien tranquillement, m’habillais, pris mon petit-déjeuner sans trop me presser.

Puis j’étais partie, tranquillement vers mon lieu de travail, qui n’est autre que le commissariat de Greenpoint, allant me garer dans le parking, prenant les escaliers, pour me rendre dans un premier temps à un étage qui n’était pas le mien. Mais je voulais dire bonjour à des amis. Je restais un peu avec eux racontant des blagues, ou les derniers résultats de la NBA ou encore de Foot. Mais j’en profitais aussi pour demander un petit service pour une affaire. C’était un petit rituel, un moment où je prenais une bonne respiration pour me concentrer par la suite sur mes dossiers.D’ailleurs, j’allais devoir m’occuper de celui de Jackson, j’avais demandé qu’on mette Olivia et Nirvana sur surveillance, puis m’occuper du cas de ces personnes. Donc au bout d’un moment, je les abandonnais en disant à un collègue « Et n’oublie pas ce week-end le match de foot, tu apportes les bières » Puis je partis vers l’ascenseur, qui était déjà en train de se fermer. Alors j’avais piqué une petite sprinte pour pouvoir le prendre, mettant mon bras pour éviter qu’il se fermer et ainsi pouvoir rentré dans l’ascenseur.

Au début, je n’avais pas vu la personne qui allait partager l’ascenseur avec moi. Ce n’est que quand la porte se refermait derrière moi que je vis Carlie. Je la vis baisser le regard, se mettant au fond, un salut sorti de sa bouche. « Salut. » Je lui répondais, je la regardais et remarquais que ses cheveux étaient encore mouillés, du moins la plupart, pour certain, ils étaient déjà en train de boucler.Dans un premier temps, je ne disais rien et voulus appuyer sur le bouton, mais il était déjà engagé. Alors je prenais place dans l’ascenseur, dans le fond aussi juste à côté d’elle. « Tu reviens d’avoir couru ? » Je savais qu’elle était comme moi, et qu’elle aimait courir le matin. Mais parfois, elle arrivait au boulot après avoir couru.

Mais bon cela était juste pour engager la conversation, car après tout on devait avouer que pour le moment ce n’était plus trop ça entre Cralie et moi. Pourtant elle faisait partie de ces personnes dont je n’avais pas envie de m’éloigner. Après tout, même si au début, cela n’avait pas spécialement bien démarré entre nous elle était devenue quelqu’un qui faisait partie de ma vie. Mais voilà depuis quelque temps, après cette fameuse nuis, il y avait quelques choses de changer entre nous, et je ne savais pas vraiment comment réagir. Enfin peut être qu’être dans le même ascenseur allait pouvoir nous permettre à nous reparler… Mais autant provoquer la chose, alors je me dirigeais vers les boutons de l’ascenseur et appuya sur celui qui provoquait l’arrêt. « Carlie, parle-moi.»

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Carlie & Alec

Et voilà, j’avais arrêté l’ascenseur et elle réagissait tout de suite. Bon, il était vrai que ce n’était pas la chose la plus maligne que j’ai faite, car effectivement, l’ascenseur avait la fâcheuse tendance à se bloquer pendant 1 heure… En fait si dans ce cas-ci, c’était une très bonne idée. Cela allait nous laisser le temps de nous parler, de nous dire les choses qu’on ne disait pas même si pour le moment, je ne savais pas très bien ou me placer par rapport à tout cela. Donc face à son reproche, je lui disais « Ben ! Comme ça, on aura une heure pour parler. » Et elle commença à me parler d’un chat qu’elle avait acheté, juste pour me prouver qu’elle me parlait. Cela me faisait sourire, légèrement, car c’était la chose la plus banale qu’on avait partagée depuis cette nuit qu’on avait passée tous les deux. JE retrouvais quelques parts la Carlie que je connaissais et que j’aimais tant, mais j’aimais aussi ce côté gêné qui regardait ses pieds pour éviter mon regard. « Un chaton, c’est toujours mignon. Tu l’as appelé comment ? »

Cela ne voulait dire qu’une chose, c’était que cela la touchait, et qu’il y avait quelque chose qu’elle ne me disait pas. Elle ne voulait pas en parler, elle voulait juste prendre ses distances avec moi. Mais pourquoi, moi, je n’en avais aucune envie. Comment voulait-elle que je réagisse, je ne savais pas ce qu’elle pensait, je ne savais pas comment elle voyait les choses. Si je savais qu’elle s’en voulait, qu’elle regrettait, je saurais comment réagir. Mais je ne savais pas du tout. « Comment tu veux qu’on régler cette histoire si tu prends tes distances. À force, je ne sais même plus comment réagir. Faire comme si de rien n’était ça ne te va pas visiblement et que tu prennes tes distances ne me convient pas. »

Je regardais, Carlie, me souvenait de cette soirée ou tout avait commencé comme une soirée des plus normale. Une soirée entre deux amis, qui regarde des films tranquillement et qui une chose entrainante une autre, on avait commencé à s’embrasser, puis à coucher ensemble. Je pouvais encore sentir sa peau sous la mienne, son parfum, ses baisers. Je m’approchais de Carlie qui venait de poser son sac au sol, elle portait son gobelet de café ses lèvres « Qui t’as demandé de faire comme si tout allait bien. » Je continuais mon approche arrivant seulement à quelques centimètres d’elle. « Pourquoi tu es partie ? » Je laissais cette mince distance entre nous expresse, je voulais la force à dire ce qu’elle avait en tête la forcer à me confier pourquoi elle ressentait cette gêne.

Je jouais à un jeu dangereux, je le savais, Carlie n’allait surement pas aimer mon petit jeu, même si s’en était pas vraiment un. Mais il fallait qu’on perce l’abcès. « De quoi as-tu peur Carlie ? » Approchant mon visage du sien, mais sans la toucher. Mais je lui posais tant de questions, je ne lui laissais pas le temps d’y répondre. Alors j’arrêtais dans mon interrogatoire, lui laissant le temps de me donner sa réponse.

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Carlie & Alec

Je n’aimais pas ses paroles, ça non, elle pouvait le voir, voir mon regard qui devenait de plus en plus froid à force d’entendre chaque mot. Je ne savais décidément pas comment réagir avec cette fille, des fois, je l’adorais des fois, j’avais juste envie de l’étriper sur place. Et à ce moment même, j’avais juste de l’étriper pour les paroles qu’elle prononçait. Car je me disais qu’elle me connaissait mieux que ça, elle avait été là quand j’étais avec Hayley, elle savait que je n’étais un homme à aller batifoler ainsi. Alors c’est avec une certaine colère que je lui disais après ses paroles « Alors, tu me crois vraiment capable de coucher un peu partout. ». Et d’un coup, je m’éloignais d’elle, allant vers les portes de l’ascenseur, prenant mes distances pour me calmer un peu.

Mais ces mots avaient blessé, mis en colère et je ne le cachais nullement. J’avais la mâchoire serrée, faisant une fois la largeur de l’ascenseur dans lequel je nous avais piégés. Ma colère n’était pas totalement partie, c’était donc encore énervé que je me retournais vers elle d’un coup lui « Je pensais que tu me connaissais mieux que ça. » Je la regardais droit dans les yeux, laissant un silence quelque peu pesant. Puis je reprenais, parlant de ma rupture avec Hayley. Car elle avait été présente et j’avais donc espéré qu’elle me savait quel genre d’homme j’étais. « Tu étais présente quand Hayley m’a laissé en plan, alors qu’on préparait notre mariage elle et moi. Et tu penses que je suis le type de mec à coucher avec n’importe qui ? » Mais il fallait croire que non, qu’après tout pour elle, je n’étais qu’un Don Juan qui passe son temps a collectionné les femmes, même les moins intéressantes.

Elle n’avait nullement pensé que je ne savais réellement comment réagir face à cette nuit que nous avions partagé. Elle n’avait même pas pris en compte que peut-être pour moi, c’était un mécanisme pour gérer tout ceci comme elle l’avait trouvé dans la fuite. Je continuais à la regarder droit dans les yeux, toujours avec cette pincée d’énervement dans ma voix « Et tu veux que je réagisse comment, en te voyant m’éviter toute la journée ? »C’est vrai comment, j’étais censé réagir, l’évité comme elle le fait, et qu’on me pose toute sorte de question sur nous deux.Je voyais déjà les gars, me demander ce qui se passait entre elle et moi et avec leur tact me demander si on avait couché ensemble. Comment étais-je censé réagir. Alors oui, j’avais pris le parti de reste naturel, car je ne savais nullement quelle attitude adopter et que pour moi, c’était la meilleure solution pour qu’on ne me pose aucune question sur nous. « Tu veux que je fasse la tête, que je montre aux autres que je n’aime pas que tu m’évites. Pour qu’après il me pose des questions sur une chose. Dont, je ne sais même pas expliquer le pourquoi du comment.»

Et puis si j’avais couché avec toute sorte fille, elle aussi aurait très bien pu coucher avec un tas de mecs. Je continuais à regarder Carlie et puis merde si j’étais un mec qui ne savait pas contrôler ses pulsions. ET d’un coup, je m’étais dirigé vers elle, je passais ma main dans son dos, rapprochant son corps du mien, l’autre sur son visage, et mes lèvres contre les siennes. Oh, j’étais sûr que cette fois, j’allais avoir droit à une belle réaction de ça part, mais qu’importe. «JE ne couche pas avec n’importe qui. » Après tout comme aventure après Hayley cela se limitait à Olivia et Carlie. Juste ses deux femmes.

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Le baiser, il avait été échangé, pendant quelques secondes. Ses lèvres m’avaient manqué, c’est fou comme une fois pouvait avoir cet effet sur nous, pour une raison qu’on ne sait même pas. Elle avait passé ses bras autour de mon cou, rendait mon baiser, je resserrais mon étreint. Et quelques’ instants après j’avais quitté ses lèvres, et Carlie… Soudain pris peur, je pouvais la voir cette peur. Elle reculait contre la paroi, se laissa glisser sur le sol. Et là, Carlie prit la fuite, comme ce soir-là, de manière amusante certes, mais elle fuyait encore se mettant de l’autre côté de l’ascenseur, et je soupirais.

Elle commençait à s’excuser, moi, je me retournais vers elle pour la regarder, et expliquer ce qu’elle ressentait. Les conséquences, c’était donc ça, même s’il n’y avait certainement pas que cela qui lui faisait peur, je ne pus m’empêcher d’avoir un petit rire en l’entendant parler de mon corps. Elle ne se rendait pas compte, mais cela était également difficile pour moi de résister face à elle. Mais je la laissais finir, m’asseyant sur le sol de l’ascenseur et posant mon dos contre la paroi. Elle me disait que je la déstabilisais, et en quelques sortes, c’était la même chose pour moi, je ne savais pas comment réagir avec elle, quand je croyais avoir fait la bonne chose, j’aurai dû faire tout l’inverse. Elle était bien plus imprévisible qu’Hayley… Pourquoi la comparer à Hayley, simplement parce que ce, c’était la femme qui avait le plus compte dans ma vie… Hormis ma sœur, ma mère et Isa qui était pour moi comme une petite sœur. Pour finir, elle se laissa glisser par terre, adoptant une position digne d’une fille, les genoux plier contre elle. Puis elle me demanda ce que moi, je pensais de tout ceci. Je ne disais rien pendant un instant, je la regardais simplement, puis j’appuyais ma tête contre la paroi tout en lui disant ce que je pensais « Et toi, tu me rends complètement fou. » Ce n’était que la pure vérité. D’ailleurs si je racontais toute l’histoire à Olivia et Jackson, je suis sûr qu’il en rigolerait… Jackson compatirait surement, mais Olivia ne manquerait pas de me taquiner « Quand je pense que j’ai la bonne réaction, ce n’est pas le cas… Mais je m’attendais à ce que tu me frappes après ce baiser. » Oui, je m’attendais à tout sauf à une telle réaction de sa part. Avec Carlie, je ne savais pas prévoir les choses, je ne savais pas dire si ça allait lui plaire ou non… Du moins quand quelques cas. Puis je lui répondais au sujet de ce corps qui l’attirait, car le sien m’attirait tout autant, il était juste parfait, et j’avais encore envie de le sentir contre moi « Mais si tu crois que c’est facile de reste prêt de toi, alors qu’il y a ça. Crois-moi ce n’est pas facile, loin de là.»

Mais ce qu’elle voulait entendre, c’était surtout ce que je pensais de cette nuit, alors j’allais me risquer à dire ce que je pensais. C’est-à-dire par grand-chose, ou du moins si, mais malgré tout, j’étais quelques parts perdues. Les conséquences, je ne savais pas ce qui pourrait arriver, c’est vrai les relations entre flics n’étaient pas vraiment bien vues, mais à vrai dire, ça, je m’en fichais bien. Je ne savais nullement où cela allait nous amener, seule chose que je savais, c’était que j’en voulais plus. « Et je ne sais pas qu’elles seront les conséquences Carlie, je n’en ai aucune idée. Je ne sais pas ce que cette nuit signifie pour tous les deux. Est-ce que j’aurais voulu la prolonger…. Oui, j’aurais aimé la prolonger… » J lui disais tout sans exception, prenant même le risque de plus l’éloigner de moi. Mais elle m’avait demandé ce que j’en pensais, alors je continuais à lui dire, prenant mon temps. Je lui disais que pour moi cela me semblait naturel, comme une note se mettant en parfaite adéquation avec le reste d’une partition. Je regardais Carlie, avais envie de me rapprocher d’elle, mais je gardais cette place.« … C’est juste qu’à ce moment… Ça me semblait naturel, sans savoir pourquoi. » Cela pouvait sembler idiot dis comme ça, mais bon qu’importe. « Comme si ça devait se passer… Pourtant faut avouer qu’à notre rencontre, on n’arrêtait pas de se disputer. »

Mais une chose était sûre, je n’avais aucune envie de la perdre, je n’avais pas envie de me passer d’elle, je voulais la garder auprès de moi, et ce, de n’importer quelle manière « Mais si tu veux du temps, je t’en laisserai. » C’était même le désir le plus profond que j’avais en ce moment même et c’est vraiment sans honte que je le lui disais « Je ne veux pas te perdre.»

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Carlie & Alec

Cette fille…décidément, je ne savais vraiment pas ce que cette fille ne représentait pour moi, elle n’était nullement un collègue, nullement une amie, non. Cette nuit-là je l’avais désir, plus que tout, plus que n’importe quelle femme, mais pas que physiquement, j’avais voulu son âme, et rien que pour moi. Je ne voulais pas qu’un autre homme puisse la toucher, lui dire des mots au creux de l’oreille, je ne pouvais m’imagine un autre avec elle. Cela était bien égoïste, certes, mais je m’en contre fichais, j’avais juste envie d’être avec elle. Même si elle me rendait dingue, je ne voulais pas qu’un autre que moi puisse la touche. J’avais dit que cela notre nuit m’avait semblé naturel, et je le pense, je me demande même pourquoi cela n’était il pas arriver plutôt. J’avais terminé ma tirade, je luis avait dit certaine chose, mais ce qu’elle allait me dire…

JE n’étais absolument pas préparé à cela, moi qui pensais qu’elle n’avait de sentiments pour moi autres qu’une simple amitié. Elle se dévoilait petit à petit prenant ce risque d’être blessée. Elle m’avoua que pour elle cela n’était pas rien que physique, mais alors qu’est-ce qu’on attendait, pourquoi on continuait à discuter de la sorte, comme si toute cette histoire n’avait été que ça, que physique. Elle ne voulait pas souffrir, mais qu’est-ce qui lui faisait dire qu’elle allait souffrir ? Ce risque, on le prenait à deux. Et puis les sentiments n’est-ce pas ça ? Prendre le risque de souffrir ? J’avais souffert avec Hayley, mais j’avais pris le risque de lui confier, mon âme, et pour la jeune femme cela avait été de trop. Je comprends pourquoi elle a peur, moi aussi, j’ai peur, mais comparer ce qu’on pouvait vivre…

Carlie était venu se mettre à genoux devant moi, avec un visage… Bon sang ses yeux, même si elle ne laissait rien transparaît ses yeux restait magnifique et je n’ai même pas le temps d’en dire plus qu’elle me gifla seul un « Et ! » Sortis de ma bouche et je n’eut même pas le temps de lui dire quoi que se soit que je sentis ses lèvres sur les miens. En profité, bien sûr que j’en profitais, même avec une passion qui se lâchait doucement. Bon sang, cette fille, comme je le disais, elle me rendait complètement dingue, j’aurais voulu continuer l’embrasse, mais je sentis ses lèvres se retirer. Cette fille savait comment me torturer, même sans le vouloir.Puis elle reprit la parole, me disant que ce n’était pas que physique qu’elle éprouvait certaines choses pour moi, mais qu’elle était allergique au sentiment, que je la faisais passer par un tas d’émotion. Et je me disais que c’était la même chose, elle pouvait vraiment changer mon humeur, d’un coup de baguette magique, elle pouvait faire sentir des choses qu’aux qu’une autre ne pouvait et elle ne s’en rendait pas compte. J’avais juste envie de lui dire que c’était la même chose pour moi, mais elle me disait soudainement que oui lui laisser le temps serait une bonne chose, pour qu’elle puisse… Me reconsidérer comme un collègue pédant.

Ce n’était pas vraiment ce que je voulais entendre, j’aurais voulu qu’elle continue à me parler de ses sentiments, mais au lieu. Je me demandais pourquoi soudainement elle me parlait de redevenir de simples amis. Aurais-je dit quelque chose qui lui faisait croire le contraire que pour moi cette histoire n’était que purement physique ? Après qu’elle ait eu fini, je ne disais pas un mot, j’avais tourné mon regard vers une paroi, ne voulant pas affronter ses yeux. Puis je retournais mon regard vers elle, il n’y avait pas de colère, pas de tristes justes de l’incompréhension. « Pourquoi ? Pourquoi me dire que ce n’était pas juste physique, pour me dire après qu’il te faudra du temps pour qu’on redevienne juste collègue ? »Je ne disais rien juste pendant quelques secondes, puis reprenais avant qu’elle ne puisse répondre « Je n’ai pas envie d’être un simple collègue, ou simple ami. Quand je te dis que ça m’a semblé naturel, je parlais de nous deux à part entière… » Je me relevais, m’étais un peu plus de force dans mes paroles « Je n’ai pas envie qu’un autre… » Comment lui dire, comment lui dire que j’avais envie qu’elle soit rien qu’avec moi physiquement et sentimentalement. « Si ce n’était pas rien que physique pour toi, ça ne l’était pas pour moi non plus Carlie. La seule que j’ai envie qui me fasse tourner en bourrique, c’est toi et bon sang dieu sait que tu y arrives superbement bien. » Oh que oui suffisait de voir mes réactions dans cet ascenseur pour s’en apercevoir. « JE ne veux pas être ton collègue pédant. Ça ne me convient pas. Je veux plus. » Et comme pour le lui prouver, je ne lui laissais même pas le temps de réagir qu’une nouvelle fois, je posais mes lèvres sur les siennes, mais cette fois ce n’était pas juste un baiser, je l’embrassais avec passion pour qu’elle comprenne.

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Carlie & Alec

Il n'y avait plus de mots, plus aucune phrase à dire. Les paroles étaient soudainement devenues surfaites, n'avaient plus aucun sens. Ils avaient fait leur devoir, il nous avait permis de voir plus clair, ou moins voir ce que l'on voulait. Puis les actes avaient pris le relai, pris possession de tout notre être. J'avais terminé par lui dire que je voulais plus, plus d'elle, plus de nous, et mon corps avait pris la suite des choses. Je m'étais dirigé vers elle, fonçant sur ses lèvres, l'embrassant avec avidité, mordillant légèrement sa lèvre inférieure. Je la voulais, plus que tout, elle et son âme.

Je sentais sa main dans mon cou, sentir sa main venir dans mon dos, je sentais qu’elle m’attirait vers elle, qu’enfin, nous étions tous les deux sur la même longueur d’onde. Elle quitta à peine mes lèvres, pour me demander ce qu’on allait faire si les techniciens nous interrompaient, alors que je la faisais reculer contre la paroi. Et de ce bref, instant, j’en profitais pour aller dans son coup déposer lèvres sur sa peau. Mais la peur qu’un technicien arrive à ce moment, j’en avais que faire et apparemment, Carlie aussi. Elle venait de passer ses bras autour de mon cou, senti qu’elle commençant à me prendre au piège avec ses jambes au tour de ma taille, commençant à bouger son bassin. Mes mains descendaient le long de son corps pour venir sous ses cuisses afin de la soutenir.

Mes lèvres revenaient aux siennes, les cherchant avec autant de désir, même plus, il s’intensifiait à chaque seconde. Son parfum, lui… Que dire de plus qu’il m’en enivrait. Je commençais peu à peu à ne plus prendre en compte ce qui nous entourait même si cela se résumait à des parois, un paquet de donuts et son sac, cela n’avait plus d’importance à cet instant précis. Je venais déboutonner d’une main cette chemise qu’elle portait, venait embrasser sa peau qui jusque-là ne m’était pas accessible à cause de ce bête tissu, touchant sa peau de ma main libre. Je la désirais plus, que n’importe, qu’elle autre.

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Carlie & Alec

Électrifiant, envoutant, sensuelle tant de mots qui irait à ce moment tant de mots qu’on pouvait mettre sur ce qui était en train de se passer entre Carlier et moi. C’était comme si cette conversation, nous avait libérés, de quoi je ne savais que dire, mais au moins on avait pu mettre en évidence certaine chose qui jusque-là avait été des nons dit. Tout ceci était comme un aboutissement de deux personnes qui se tournait autour sans le savoir, et qui enfin s’apercevait qu’il était temps d’admettre ce qu’ils n’avaient alors pas su voir pour enfin exister. Carlie, me laissait faire, avait relâcher un soupir de plaisir alors que j’effleurais sa peau. Elle profita de cet instant pou glissé ses mains afin de retirer mon t-shirt.

Elle se venait m’embrasser… Ou du moins, c’est ce qu’elle me faisait croire, car à la place, elle déposait ses lèvres sur mon épaule se frayant un chemin, alors que cette fois, c’était moi qui laissais échapper un soupir. Puis je laissais ses pieds rejoindre le sol de l’ascenseur. Carlie, déboutonna mon pantalon, glissa. Mon désir s’intensifiait de plus en plus, je la voulais, pour moi et rien que pour moi, pour le plus longtemps possibles. Ce moment, pour rien au monde, je ne voulais le partager avec une autre femme, je voulais que ça soit cette femme en particulier. Alors sentant sa main, je l’embrassais, descendant doucement, faisant glisser mes lèvres le long de sa peau m’attardant sur son ventre, alors qu’à mon tour, je déboutonnais son pantalon pour le faire descende le long de ses jambes, puis ce fut autour de sa lingerie fine descendre. Je revenais vers ses lèvres, les embrassai, alors que je venais en elle, commençant à bouger mon bassin.

Je m’en fichais bien des techniciens et tout le reste du commissariat qui était en train de bouger au rythme de malfrat. Tout ce qui comptait à ce moment, était Carlie, celle que je ne voulais plus laisser partir pour n’importe quelle raison.

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