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 Jackson Donovan - Attrape moi si tu peux

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MessageSujet: Jackson Donovan - Attrape moi si tu peux   Jackson Donovan - Attrape moi si tu peux EmptyLun 18 Jan - 21:11
Jackson Donovan

Yo ! Comme tu as pu lire, moi c'est Jackson Donovan mais honnêtement, la plupart des gens m'appellent plutôt Jack. Je fête cette année mes 46 ans, je suis né-e le 30 décembre 1969 à New York. Je suis d'origine américaine et de nationalité américaine et vis à New York depuis toujours, dans le quartier du Bronx. Ici je suis dealer, mais j'aime aussi griffonner quelques dessins (que je ne montre jamais à personne), en revanche ne me demandez pas de garder des gosses, j'aime pas ça. C'est sans doute pour ça que mon crew c'est plutôt les Stfu ! On me distingue d'ailleurs par une cicatrice sur la nuque.
Il paraît que je suis intelligent, futé, beau parleur, mais aussi insupportable, mauvais, puérile.. Personne n'est parfait. D'ailleurs personne ne le sait mais j'aime vraiment dessiner. Je fais des croquis pour des bandes dessinées. Mais jamais je ne les montrerai. C'est un peu mon truc à moi.. Et pour aller un peu plus loin dans l'intimité on peut dire que je suis hétérosexuel et célibataire.

Les anecdotes, les tics, les trucs de votre personnage.







chapitre I : Bats toi pour survivre

Mes parents? J'en n'ai pas. Enfin si, j'imagine que j'en ai, j'suis pas non plus né du saint esprit. Loin d'là. Mais j'ai jamais connu mes vieux. Un bien, un mal? J'en sais rien. J'ai grandi dans un orphelinat, espérant qu'on m'adopterait un jour. J'étais encore naïf à cette époque, et je rêvais d'une famille parfaite qui m'adopterait, et m'aimerait. Mais ça c'était des conneries. Ah j'ai été adopté oui. J'avais 10 ans. Mon soit disant nouveau père me battait pendant que ma mère tentait de me protéger. Au final on se prenait tous les deux les coups. Les services sociaux? Ils n'en ont jamais rien su. 

C'est dans le quartier du Bronx que j'ai continué de grandir. Finalement j'ai presque regretté l'orphelinat et ces gosses qui se malmenaient entre eux, et me malmenaient aussi. C'était toujours mieux que les poings de cet enfoiré de paternel. Le visage de ma mère se déformait sous les coups. On finissait par ne plus la reconnaitre sous sa tonne de maquillage qui tentait en vain de masquer la violence de mon père adoptif. Ca me dégoutait.

Je profitais de l'école pour m'évader. Puis je trainais le soir. Plus je rentrais tard plus la colère de mon paternel était grande. Alors un soir, j'ai décidé de pas rentrer, pour pas subir sa colère. J'ai trainé dans la rue. J'avais trop peur de rentrer. J'avais 13 ans. C'est là qu'ils m'ont trouvé. Un gang. Ils m'ont demandé de leur rendre service. En échange ils évitaient de me massacrer, et ils me donnaient un peu d'argent. Ce que je devais faire? Juste amener un paquet à un type. Je l'ai fait. Parce que j'avais peur de ces gars, et parce que avoir de l'argent, ça pourrait me permettre de partir. De ne plus jamais rentrer à la maison.

J'ai exécuté ma mission, ça s'est plutôt bien passé. Ils m'ont dit de revenir le lendemain. Je n'avais plus le choix. Si je décidais d'arrêter, ils me feraient la peau. De toute façon, je voulais continuer pour pouvoir partir. Si j'avais assez d'argent, je voulais emmener ma mère avec moi. Loin de ce monstre qui prétendait être mon père. Evidemment quand je rentrais, je vous raconte pas comme mon père se défoulait sur moi. Alors j'ai fini par ne plus rentrer. Je suis resté trainer avec cette bande. Je travaillais pour eux. Ils m'apprenaient à vivre à la dure. Je les accompagnais dans des missions plus risquées. Ils étaient des dealers de drogue. Je le savais. Mais j'obéissais. Pour survivre. Et j'avais ma part d'argent. Très maigre, mais pour mon âge c'était un bon début. Et il y a eu ce jour. Ils ont tué un homme devant moi, parce qu'il allait les dénoncer aux flics. L'acolyte de l'homme, par peur, s'était agenouillé au sol et les avait supplié de ne pas le tuer, disant qu'il n'irait jamais les dénoncer. Mais il avait vu nos visages. Et notre chef de bande n'allait pas laisser passer ça. Il m'a tendu l'arme à feu. Je l'ai regardé, terrorisé, sans comprendre. Il me l'a mis de force dans ma main, et m'a fait viser l'homme à terre.

Tue-le.

Ma main tremblait. Je mis ma seconde mains sur l'arme et tentai de me stabiliser. Je n'avais pas le droit de montrer que j'avais peur. Mais... Je ne voulais pas tuer cet homme.

Tue-le j'ai dit!

Si je ne le tuais pas, c'était moi qui allais être tué... Je sentais la transpiration couler le long de mon front. J'ai serré fort mes mains sur l'arme, puis j'ai pressé la détente. La force de larme me fit reculer légèrement. Le bruit frappant du coup de feu, de la balle transperçant l'homme, me fit sursauter. Notre chef de bande reprit l'arme et on reprit notre route. J'étais sous le choc. Je venais de tuer un homme. J'avais 13 ans.

chapitre II : Supporte la douleur

J'ai été leur chien pendant des années. J'ai accompli les tâches dont ils ne voulaient pas s'occuper. Ils ne voulaient plus se salir les mains. Maintenant y'a le gosse pour ça. J'ai tué oui. Plusieurs fois. J'ai dealé, de plus en plus. J'ai marchandé, j'ai sorti de beau discours pour gagner un max. Et je gagnais pas grand chose, car ces connards prenaient tout. Mais voilà, le gosse, il a grandi. J'avais 22 ans quand j'ai décidé de leur faire payer tout ce qu'ils m'avaient fait endurer. J'avais longtemps risqué ma vie pour eux. Aujourd'hui ils allaient m'offrir la leur. Je voulais la vengeance, et c'était la seule façon pour moi de me défaire de leur emprise.

Alors j'ai acheté du poison. Et je l'ai versé dans leur putain de verre. Car oui j'étais aussi leur bonne niche. Je leur servais le repas devant la télé. J'étais leur toutou. Et ils l'ont payé de leur vie. Je me suis juré que jamais plus personne ne me traiterait ainsi. Ils ont suffoqué, se sont étranglés dans leur vomi comme des gros porcs. Ils me dégoutaient. J'ai mis le feu à notre squat pour masquer toute trace. Et je me suis barré. J'ai monté mon propre business. J'étais seul. Je me servais chez des fabriquants de meth, et je revendais plus cher. Ca fonctionnait bien. Je n'obéissais à personne. Je n'avais aucune loi, aucune règle. Je ne tuais plus. J'arnaquais, simplement. Et je m'en sortais toujours indemne, et plus riche.

J'ai ainsi pu m'acheter un appart', et commencer à vivre pour de vrai. Je sortais, je vivais. C'était bon. La liberté.

Puis vint ce soir là. J'avais très souvent des femmes dans mon lit. Des femmes dont je n'avais rien à foutre honnêtement, et dont je me débarrassais très vite. Aucune attache. Jamais. C'était comme si j'étais dénoué de sentiments. Et puis il y a eu elle, Olivia. Je ne dirais pas que j'avais des sentiments ce soir là. Mais elle m'attirait bien plus que les autres. J'étais en boite de nuit, et je la regardais se tortiller sur la piste de danse. Comment a-t-elle réussi à entrer? Aucune idée. Car elle était vraiment jeune à première vue. Effectivement elle avait 14 ans. Mais j'aime jouer avec le feu. Les lois, je les emmerde. Je suis allé la voir, et disons qu'on s'est très vite attirés l'un l'autre. Et je peux vous dire qu'elle n'avait pas froid aux yeux.

On a finit chez moi, et on a passé une nuit assez torride si vous voyez c'que j'veux dire. Cette gamine, elle avait 14 ans, j'en avais 24. Pourtant c'était de loin mon meilleur coup. Vous le croyez ça? Moi ça m'a surpris, je dois l'avouer. Et ça m'a pas du tout laissé indifférent. Mes conquêtes, je les vire dès que j'ai fini mon affaire. Mais elle... Je ressentais quelque chose de différent, sans savoir comment le définir. Elle est restée dormir, et j'ai apprécié sa compagnie. Mais à mon réveil, elle n'était plus là. Je ne l'ai jamais revu. Je savais seulement qu'elle s'appelait Olivia. Qu'elle avait 14 ans. C'est tout.


chapitre III : Tu crois que tu pourras toujours t'en sortir?

J'étais un peu troublé par cette fille, mais je me suis efforcé de l'oublier bien vite. Je ne devais pas m'attacher, m'attarder à penser à quelqu'un. Surtout pas à une gosse de 14 ans. J'avais autre chose à foutre. J'avais du boulot. Alors j'ai continué mon business toutes ces années, et ça marchait de mieux en mieux. J'avais des clients fidèles pour la qualité de ma marchandises. D'autres qui voulaient me couper la tête car je les avais arnaqué bien comme il fallait. Mais je savais rester discret. Je m'en suis toujours sorti. Jusqu'à aujourd'hui. Il a fallut que j'ai 46 piges pour me faire chopper par les flics.

Des soit disant clients. Comment j'ai pu me faire avoir? Comment j'ai pu ne pas voir que c'était des putain de flics? Je cherchais trop après l'argent, si bien que je n'ai plus fait assez attention. Et je me suis fait prendre. J'avais la haine, comme jamais je ne l'ai eu. Je ne veux pas aller derrière les barreaux. Je tiens à ma liberté. Alors j'ai voulu me trouver le meilleur avocat de tous. J'avais de quoi le payer après tout. Et c'est sur elle que je suis tombé. Olivia. Quand j'ai vu son prénom, et sa photo sur internet... J'en était sûr. C'est elle. Et croyez moi... Elle est plus canon que jamais aujourd'hui. Un sourire joueur s'est affiché sur mon visage. Alors je l'ai contacté. Elle ne connaissait pas ma vraie identité. A l'époque je m'étais présenté sous le nom de John, comme je le faisais toujours pour qu'on me foute la paix par la suite, qu'on ne cherche pas à me retrouver. Alors elle ne s'est doutée de rien quand je l'ai appelé, et qu'elle a accepté de s'occuper de mon cas. Je sens qu'on va bien rigoler. Ce que j'ignore totalement, c'est qu'elle a une fille. Et que cette gosse... C'est la mienne.


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MessageSujet: Re: Jackson Donovan - Attrape moi si tu peux   Jackson Donovan - Attrape moi si tu peux EmptyLun 18 Jan - 21:11
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