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Sujet: let it happen/ FRANCES ST-CLAIR Dim 29 Jan - 23:31
J’traîne un sourire bancal
Marlon & Frances
You know how people say that you can't run away from your problems? Well, I moved away from mine. And it worked. So people are so wrong so much of the time.
Il sourit, amusé, en la voyant s'agiter, sourire, partir. Puis il finit par souhaiter sérieusement qu'elle ne lui servirait pas des coquillettes au beurre, il y préférerait ses carottes râpées industrielles. Celles qu'il manque quotidiennement depuis une dizaine de jours. Il baisse la tête, quelques mèches de cheveux noirs tombent en avant tandis qu'il marque le comptoir de l'un de ses dessins. Il comptait en faire un petit dessin tout bête et finit par se plonger dedans et dessiner longtemps. A l'infini.
Cave à vin, Absolem pousse un long soupir et penche la tête à la fois légèrement en arrière et sur le côté en observant la vendeuse qui s'approche de lui. Il voit dans son regard ce qu'elle semble penser de lui, comment elle le trouve, et il se dit que les Whitlock ont au moins un gêne sympathique niveau charisme, il se dit que personne n'imagine le merdier que c'est dans son corps maladroit et grand et informe et imposant, pesant, trop présent.
Devant sa porte, il frappe et tend la bouteille. Un jurançon. qu'il dit avec son plus bel accent français, avant de lâcher un bref et léger sourire sonore , puis d'entrer dans l'appartement de la jeune femme.
Made by Neon Demon
Frances St-Clair
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Sujet: Re: let it happen/ FRANCES ST-CLAIR Mer 1 Fév - 20:32
Si elle avait pensé. Si, un seul instant, Frances s'était laissée aller à l'idée que cette journée se finirait en une soirée dîner et film chez elle, en compagnie d'Absolem, cette pensée n'aurait été que de l'ordre du fantasme ; elle n'y aurait pas cru. Et pourtant, c'était bien là, sur le point d'arriver. Frances s'affairait en cuisine. Elle s'était lancée dans la préparation de lasagnes aux légumes, plat qu'elle maîtrisait relativement bien et qui rencontrait, généralement, un franc succès. Une fois le plat au four, elle peut se détendre un peu. Frances en profite pour se changer, enfilant une robe marinière, changeant un peu de ses habituels jeans-sweatshirts-baskets.
On toque à la porte et elle se précipite après un dernier regard vers le miroir. A vrai dire, elle est presque nerveuse. Elle ouvre. Face à elle, l'imposante silhouette du bel Absolem, qui, en guise d'introduction, lui tend une bouteille de vin. "Un jurançon", glisse-t-il en français, ne manquant pas de provoquer une certaine excitation chez Frances, car les clichés ont la vie belle. "Merci," elle réplique en français également, puis s'écarte du cadre de la porte pour le laisser entrer dans son humble demeure. Elle désigne le canapé d'un geste de la main. "Vas-y, installe-toi !" Frances se dirige vers la cuisine et en revient, deux verres à vin à la main. "Et si on goûtait ce fameux Jurançon en guise d'apéritif ?"