Sujet: thomas ~ leave out all the rest. Mer 15 Oct - 18:10
Thomas Joachim Whitaker
ft. Ben Barnes
Nom +Whitaker. Prénom(s) +Thomas Joachim. Date et lieu de naissance +15 avril 1984, New York. Âge +30 ans. Nationalité +Américain & Canadien. Origines +Anglaises. Situation amoureuse +célibataire. Sexualité +hétérosexuel. Métier +ancien soldat de l’US Army.. Groupe +Life's For The Living. Caractère +volontaire - généreux - à l’écoute - solitaire - taciturne - lunatique - serviable.
Le sport a toujours été important pour lui ; il en pratique dès qu’il en ressent le besoin ou quand ses nerfs sont à vifs. (+) Les relations qu’il entretient avec son père et son frère aîné ne sont pas au beau fixe ; il ne s’est jamais senti à la hauteur des attentes de son paternel. (+) Sa jambe tremble lorsqu’il est nerveux ; il n’a jamais trouvé le moyen de faire en sorte que cela cesse, d’autant que cela a tendance à le stresser encore plus. (+) Il déteste se replonger dans de vieux souvenirs au travers des photos, il n’en possède donc que quelques unes, mais ne s’y attarde jamais ; elles font plutôt office de décoration sans importance. (+) Bien qu’il ne soit pas matérialiste, il collectionne les vinyles de ses artistes préférés ; qu’ils soient récents ou anciens. (+) Bien qu’il ne soit plus dans l’armée, il porte toujours ses plaques militaires autour du cou ; c’est une habitude qu’il ne souhaite pas changer. (+) Il joue de la guitare depuis qu’il est gamin, mais n’a pas eu l’occasion d’en jouer depuis de nombreuses années. (+) Depuis son « retour à la vie », il souffre de stress lié à la guerre ; il souffre de nombreuses migraines et autres troubles qui lui rendent la vie impossible. (+) Il ne supporte pas les mensonges et les gens qui prétendent être ce qu’ils ne sont pas. (+) Plutôt discret, il n’est pas du genre à se faire remarquer et n’a pas vraiment envie que l’attention soit portée sur lui ; il préfère vivre dans l’ombre des autres, comme il l’a toujours fait. (+) Son enseignement militaire fait de lui quelqu’un de responsable, soucieux des autres et volontaire ; il ne laisserait jamais une personne dans le besoin sans lever le petit doigt. (+) Il déteste néanmoins qu’on le prenne pour un idiot et n’hésite pas à remettre les gens à leur place quand cela s’avère être nécessaire. (+) Ce n’est pas un gros dormeur puisque de toute façon, les cauchemars hantent souvent ses nuits. (+) À sa sortir de l’hôpital, on la contraint à suivre une thérapie auprès d’un psychiatre ; il le déteste et déteste encore plus ces séances dans lesquelles il s’ennuie mortellement et ne dit quasiment rien. (+) Il se montre souvent trop sarcastique envers son paternel ; il ne lui a toujours pas pardonné le fait qu’à cause de lui, son enfance a été une longue compétition avec son frère. (+) Suite à son « accident », il a perdu de ses capacités physiques ; en exemple, son bras gauche ne fonctionne plus correctement.
Qu'est-ce qui t'as fait venir vivre à Montréal ? Enfant, je vivais déjà dans cette ville et j’en suis parti pour faire mes classes militaires avant de rejoindre un pays en guerre. J’y suis revenu il y a quelques années, sauf que j’étais dans le coma et maintenant, je tente de reprendre mes marques dans cette ville qui ne m’est plus familière.
Si tu devais vivre ailleurs ce serait où, et pourquoi ?Je pense que ce serait New York, puisque c’est là-bas que je suis né et je pense que je pourrais être pas mal heureux si j’étais là-bas. Mais si vraiment je voulais prendre un nouveau départ, je partirais dans un pays d’Europe, peu importe lequel.
Participes-tu à la vie culturelle de la ville ?Pas vraiment. J’en ai ni le temps ni l’envie.
Voir de plus en plus de touristes, ça te fait quoi ?Absolument rien. Ce n’est pas comme si j’étais un grand habitué à la ville, alors… Moi-même je passe aisément pour un touriste tant tout me parait différent d’avant.
Trouves-tu qu'il y a assez d'événements culturels ?J’en sais rien. Ça ne m’intéresse pas outre mesure.
Plutôt caribou ou lynx ?Je dirais le lynx, mais c’est vraiment parce qu’il n’y a que deux choix.
behind the scene
ton pseudo/prénom +punk.leto. ton âge +24 ans. ton pays/ta région +France. comment as-tu connu le forum ? +par le St Esprit /PAN/. qu'en pense-tu ? +j'aime. ta présence +régulière. es-tu un scénario ? si oui, de qui ? +non. un dernier mot ? +pouet.
Code:
◤ <qu>BEN BARNES</qu> + <av>Thomas J. Whitaker</av>
Invité
Sujet: Re: thomas ~ leave out all the rest. Mer 15 Oct - 18:10
Si l'humanité ne met pas fin à la guerre, la guerre mettra fin à l'humanité...
Je garde un assez bon souvenir des premières années de ma vie ; il faut dire que j’étais bien tombé. Deuxième enfant des Whitaker, j’avais un grand frère, Austin, avec lequel je m’entendais plutôt bien et avec qui j’étais assez complice dans l’ensemble. Certes, comme dans toutes les familles, nous n’étions pas d’accord sur tout, mais j’avais au moins une personne avec laquelle je passais le plus clair de mon temps et avec qui je pouvais m’amuser durant des heures. J’aimais beaucoup l’atmosphère qui régnait à la maison, c’était calme, tranquille, sans dispute et sans histoire. On semblait être la petite famille parfaite, le tableau de la famille américaine typique - d’autant qu’Austin et moi étions des privilégiés puisque nos parents avaient des revenus confortables. De ce fait, on ne manquait de rien et on avait toujours plus que nécessaire. Mais si à l’époque j’étais proche de mon frère et de ma mère, je l’étais moins de mon père. Il faut dire qu’au fil des années, il instaurait une sorte de compétition et de rivalité entre Austin et moi. Il voulait toujours qu’on soit en compétition, que l’un surpasse l’autre afin que le second fasse mieux et tente de battre le premier à la moindre occasion. Je ne comprenais pas pourquoi il agissait de cette manière, je ne comprenais pas pourquoi il souhaitait à ce point qu’on devienne des rivaux alors qu’on aurait juste dû être des frères, liés envers et contre tous.
Au fil du temps, il est vrai que j’étais bien moins avec ma famille ; je n’en pouvais plus de cette compétition, d’Austin qui semblait se prendre plus au jeu que moi, de notre père qui n’arrêtait pas de me mettre la pression parce qu’il fallait que je fasse mieux... Il n’y a que ma mère qui faisait office d’arbitre et qui ne cessait de nous dire qu’on ne devait pas prendre cela au sérieux et que nous étions frères avant tout. Mais j’avais cette impression terrible que le mal était déjà fait... Et encore plus lorsque mon propre frère s’est mit à me « voler » mes petites amies. Du moins, une, et cela a été suffisant pour que je perde confiance en cette relation fraternelle qui n’en n’était plus une. J’avais de plus en plus cette envie d’être loin de cette maison, de mettre les voiles, de prendre mon indépendance. Je ne faisais même plus semblant avec mon père, je lui disais clairement que je m’en fichais de cette compétition et que je ne voulais en aucun cas la poursuivre parce qu’elle ne m’intéressait pas. Je ne voulais pas être sur la première marche du podium, je m’en fichais de tout. Dans ma tête, j’avais déjà mes plans ; je voulais entré dans l’armée pour faire quelque chose qui me plaisait et aussi, pour ne plus être confronté à ce tableau de famille qui ne m’inspirait plus rien.
Sauf que durant ma dernière année de lycée, j’avais fais la connaissance de Gaby. Nous avions beaucoup d’amis en commun, mais on ne se connaissait pas jusqu’à cette fête où nous avons discuté ensemble - évidemment, j’avais fais le premier pas, histoire de me présenter -, et je ne sais pas ce qu’il y a eu, une sorte d’alchimie, après cette soirée, on s’est revu et plus jamais quitté. Certains diraient qu’on était fous, mais il me semble qu’on s’aimait beaucoup trop pour avoir dans l’idée de ne pas être ensemble. Si avant je ne croyais pas au coup de foudre, avec elle, je ne pouvais que revenir sur mes croyances. On était très heureux ensemble, à tel point que l’année suivante, alors que je partais à l’académie militaire de West Point, Gaby avait prit la décision de me suivre. Pendant que je faisais mes classes, elle bossait et on se voyait aussi souvent que possible. Certes, je n’étais pas toujours très disponible, mais je trouvais du temps pour elle, pour nous. Je ne voulais pas que ma formation nous éloigne alors qu’on était si bien ensemble. Gaby représentait mon équilibre, ce que j’avais toujours voulu obtenir. Je nous savais plus qu’amoureux et j’espérais naïvement qu’il en serait ainsi pendant de très nombreuses années.
Après mes années à West Point qui n’ont pas été de tout repos, autant le dire, mais qui ont forgé mon caractère, j’avais obtenu mon diplôme et j’avais eu la chance d’être nommé Sous-Lieutenant, comme beaucoup de mes camarades. Mais cela voulait aussi dire que je devais faire cinq années de service actif dans l’armée américaine - chose que je souhaitais -. Mais avant de faire ce service, je voulais faire autre chose qui me paraissait tout aussi important ; j’avais demandé à Gaby de devenir ma femme. Je ne raconte pas à quel point j’étais stressé, anxieux, à la limite de faire un malaise tant je ne savais pas si elle allait dire oui ou si elle allait prendre la fuite. Elle avait été avec moi durant ce temps, elle me soutenait, elle me remontait le moral quand je pensais mettre un terme à tout cela et je savais qu’elle était la femme de ma vie ; j’espérais être l’homme de sa vie également. Sa réponse avait été positive et elle avait fait de moi l’homme le plus heureux de la Terre.
Et j’ai été envoyé en Irak. Avant d’être là-bas, je n’arrivais pas vraiment à me faire une idée de ce que pouvaient vivre les gars qui s’y trouvaient, mais putain... C’était pas la joie. Jamais je n’aurai imaginé toutes ces choses qu’on voyait, qu’on faisait et pourtant, je savais bien que j’y passerais à un moment ou un autre, mais pas de cette manière. Je crois que c’est comme les flics, on sait qu’à un moment on devra se servir de son arme, mais on est jamais assez préparé psychologiquement à le faire. Sauf qu’à l’armée, on a pas le temps d’avoir des remords, on a pas le temps de se poser trop de questions : c’est eux ou nous. Et à choisir, c’était eux. Durant toute cette période, j’écrivais à Gaby et j’envoyais quelques lettres à ma famille, même si je n’étais pas très expressif, je ne disais pas grand-chose, je gardais tout pour moi. Je disais juste que j’allais bien, qu’ils me manquaient et que j’espérais les revoir très vite et très bientôt... Je savais pas encore que « très bientôt » serait en fait dans « très longtemps. ». Les souvenirs sont flous. Je me souviens que j’étais avec mes frères d’armes, qu’on avançait vers un autre point, on semblait confiance, il n’y avait rien aux alentours, on pensait que c’était bon signe. On aurait du se souvenir que lorsque tout est trop calme, c’est qu’il y a un problème. À partir de cet instant, je me souviens juste des coups de feu qui sont tirés, d’une explosion suivit d’une autre et ensuite, le trou noir. Plus rien.
Plus rien jusqu’à il y a une semaine et quelques jours, je n’en sais trop rien ; soit huit années après mon dernier souvenir flou. Les médecins de l’hôpital dans lequel je me trouvais ont dis que c’était une sorte de miracle, que j’avais commencé à reprendre connaissance quelques semaines auparavant, mais que je restais les yeux clos, inconscient, il n’y a que mon corps qui avait des réactions. J’ai eu droit à de nombreux examens et bien évidemment, je ne suis plus en aussi grande forme qu’avant ; j’ai des séquelles qui ne disparaîtront jamais. Je rencontre des difficultés au bras gauche qui ne répond qu’une fois sur deux, j’ai des problèmes de dos et des migraines qui ont commencés dès le lendemain de mon réveil. Je raccourci la liste, mais en quelques mots ; je ne serai plus jamais apte à rempilé à l’armée, j’ai d’ailleurs été réformé, ce qui me semble logique, dans le fond.
À partir de là, je ne peux vous en dire plus, le reste de mon histoire m’attend en dehors de cet hôpital, de cette chambre que j’ai connu durant trop longtemps. Il me reste huit années à rattraper et à combler...
Invité
Sujet: Re: thomas ~ leave out all the rest. Mer 15 Oct - 18:14
Sujet: Re: thomas ~ leave out all the rest. Mer 22 Oct - 14:10
T'es validé !!
-Le.. le.. le pauvre chouchou *ne regardera plus jamais Austin comme avant * ahahah ! Bon en tout cas pour moi tout est bon, c'est vraiment propre ! Je te valide avec plaisir of course. -
Te voilà donc validé, prêt à partir à l'aventure ! Grand bien t'en fasses, nous sommes ravis de t'accueillir parmi nous ! Bien sûr, avant de te lancer totalement dans le jeu, il faut que tu te trouves des camarades avec qui rp ! Pour ça, rends-toi juste ici et postes ta fiche de liens pour avoir pleins d'amis ! Ensuite, il est très important de recenser le métier de ton personnage juste là, ainsi que son logement par ici (bah oui parce que sinon il est à la rue le pauvre ). Si tu n'as pas envie d'être seul et que tu as une idée claire de lien, tu peux toujours créer un scénario dans ce coin. Et si comme nous tous, tu es un addict des jeux en tout genre, viens faire un tour juste là pour qu'on puisse s'amuser tous ensemble !! Voilà, je crois que c'est tout ! Bon jeu !