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 LUCI - A HANDSOME WOMAN

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MODO STFU
Lucifer Wolff
Lucifer Wolff

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MessageSujet: LUCI - A HANDSOME WOMAN   LUCI - A HANDSOME WOMAN EmptyLun 6 Juin - 20:28
LuciferJohnny Wolff

Yo ! Comme tu as pu lire, moi c'est lucifer jonathan "johnny" wolff mais honnêtement, la plupart des gens m'appellent plutôt médor, johnny boy, grand méchant loup ou le coureur de jupons (et de pantalons). Je fête cette année mes vingt-cinq ans, je suis né le dix-huit mai 1991 à san antonio. Je suis d'origine italien, anglais, libanais, mexicain, américain et de nationalité américaine et vis à New York depuis cinq ans ans, dans le quartier du bronx. Ici je suis contrebassiste dans une petite troupe de jazz qui joue dans des bars le soir, qui commence d'ailleurs à se forger une petite réputation, puis propriétaire d'une librairie où il vent majoritairement autre chose que des livres, donc dealer à plein temps, mais j'aime aussi la basse, les filles, le nouveau, le tabac, les couleurs, le regard des gens et la peur, en revanche ne me demandez pas de me prendre en photo, m'occuper de votre gosse, me forcer à faire quelque chose ou me dire quoi faire, j'aime pas ça. C'est sans doute pour ça que mon crew c'est plutôt les stfu ! On me distingue d'ailleurs par mes deux dés bleus, mes yeux, mes lèvres, mon odeur, ma perspicacité, mon sarcasme, puis ma constante cigarette aux lèvres, et on dit souvent que j'ai un air de famille avec shiloh fernandez.
Il paraît que je suis créatif, attirant, généreux, mature mais aussi menteur, manipulateur, égocentrique, lunatique, impulsif, solitaire. Personne n'est parfait. D'ailleurs personne ne le sait mais je ne peux dormir sans chaussettes, et j'ai fugué de chez moi à mes seize ans, puis je possède des costards de toutes les couleurs, même si le rouge est mon favoris. Et pour aller un peu plus loin dans l'intimité on peut dire que je suis bisexuel et célibataire.

✕ lucifer joue plus de sept instruments parfaitement bien ✕ il aime le sport mais pas la sueur, un amour toxique ✕ on lui fait une remarque sur son prénom au moins deux fois par jour ✕  c'est pourquoi peu de gens l'appellent lucifer, surtout devant des inconnus. il essaye d'éviter d'attirer l'attention pour rien. on l'appelle donc luci ou johnny. ✕ il est fils unique mais ne s'est pourant jamais retrouvé gâté par ses parents ✕ il compte pour se concentrer, peu importe ce qui se trouve autour de lui. ça peut être le nombre de nouilles dans son assiette, le nombre de couleurs dans un tableau, le nombre d'objets couleur argent sur la table, il compte. ✕ il ne croit pas aux superstitions ✕ au contraire, il aime bien "défier" le destin, juste parce que ça le fait rire. c'est lui qui passe volontairement sous les échelles, ou qui recouvre le plafond de son appartement de parapluies. ✕ il pourrait énumérer une centaines de raisons pour lesquelles il aime être un homme ✕ est végétarien depuis son adolescence par convictions ✕ il est pas allé plus loin que le bac pour enfin se mettre à voyager et à rencontrer des "vraies" personnes ✕ il possède un grand nombre d'armes à feu, qui la plupart du temps, sont de couleur accordée avec son costard. ✕



king of the forty thieves i'm here to represent

Le poème, c'est l'univers. Lui, c'est le mot qui ne rime pas, mais qui donne tout son sens au texte, bien qu'il ne soit absolument pas en rapport avec. Lui, c'est le mot irrégulier. C'est ce qui provoque le regard de détresse que les filles arborent quand il leur sourit à sa manière. C'est le souffle qui vient raviver la flamme, la braise qui ne s'éteint pas. C'est le désir, mais pas l'amour. Tout, sauf le romantisme. C'est la petite chose minuscule qui passerait bien inaperçue, mais qui attire l'attention malgré elle. C'est la toupie qui n'arrête pas de tourner, qui n'arrêtera pas. La lune qui se cache le jour mais qui s'affiche la nuit. C'est l'amour impossible entre l'oiseau et le poisson, le soleil et la lune, l'eau et le feu. La claque qui fait mal, mais qui en fait est appréciable. C'est le verre d'alcool qui rend ivre, mais pas assez pour faire vomir, juste bien. La légère odeur de cigarettes et de chlorophylle sur son manteau, c'est lui. Le lit de princesse aux draps défaits, c'est lui. La Ferrari aux pneus crevés, c'est lui. La lampe torche sans les piles, aussi. L'horloge en retard, l'arbre nu, le champs rasé, le tee shirt transparent, la cigarette sans nicotine, la douche sans eau. Et ça pourrait continuer comme ça pendant bien longtemps. La fausse note qui gâche tout le solo de guitare, mais qui y apporte un petit quelque chose qui y manquait. La note mineure qui s'impose sur la chanson en majeur. L'événement malencontreux qui vous arrive quand vous pensez que votre vie va pour le mieux. C'est le serpent qui tente Adam et Ève.
« Le 17 février 2008,
A San Antonio, Amérique du Nord.

Chers parents.
Voilà.
Comme vous auriez pu vous y attendre, je suis parti. Je suis parti parce que j'en avais l'occasion. Parce que cet endroit est étouffant et puis aussi parce que vous m'étouffez avec vos cigarettes.
C'est donc après toutes ces années passées en votre compagnie, ou ce que je pourrais qualifier de fantômes, que j'ai décidé de me casser. Je ne sais pas encore où je vais, comment je vais y aller, bien que j'avoue vous avoir emprunté quelque peu d'argent sur vos comptes, que je rendrai bien évidemment par la suite, lorsque je l'aurai. Je vais sûrement me diriger vers Amsterdam (parce que ce n'est pas comme si vous vous seriez servi de cet argent en tous les cas), puis ce n'est pas comme si je savais vraiment ce que j'allais faire en partant. Me reconvertir en baron de la drogue, ou en boulanger, Dieu sait ce que je suis en train de faire en ce moment. Puis j'avais aussi besoin d'argent pour me payer mes cigarettes. Vous apprendrez à arrêter de fumer, comme ça. Je veux rencontrer des gens, des gens autres que vos amis du boulot, autres que ceux que je vois tous les jours. Des vrais gens. Pas des espèces d'ombres qui effrayent les passant. Je peux pas promettre de revenir, et on sait vous et moi que je reviendrai pas, mais j'essayerai de vous envoyer des nouvelles, si j'oublie pas votre numéro ni votre adresse, ce qui est probablement déjà fait à l'heure où vous lisez cette lettre.
Parce que oui, j'ai beau être parti en un coup de vent, sur une envie, je suis sûrement déjà loin, de vous, et de cette ville. C'est donc sur ce que je vous dit adieu.
On se reverra quand l'un de vous se sera étouffé dans la fumée, la fumée de vos mythiques paquets de Dunhill rouges.
Votre fils. 
PS: Ne me retrouvez pas. »
Il est là. Il a tué un homme. Il s'est tué lui-même, en fait. Les pieds dans l'eau. Il y a des enfants qui jouent pas loin, et un couple qui barbotte. Il se retient d'ailleurs de ne pas s'énerver contre eux. Tout le monde parle. Autour de lui, mais dans sa tête. Il peut pas les faire taire, ces voix. Il a beau essayer de se boucher les oreilles, rien de marche. C'est comme s'il criait intérieurement. Il s'égosille, il se déchire les cordes vocales. Sur la belle petite plage de Lion-Sur-Mer. Dieu sait ce qui l'a poussé à venir ici. C'est la Normandie pure, c'est sur. Rien à voir avec ce qu'il avait prévu. Qui sait où il pourrait aller ensuite. En attendant il plonge. Qui est ce que ça intéresse, qu'il soit entièrement habillé. Il se noie intérieurement, alors qu'il reste à la surface. Il se noie dans le ciel gris du printemps. Son chapeau tombe dans l'eau. Il part à la dérive. Un peu comme lui, au final. Sa vie s'est transformée en une pièce de théâtre dont il n'est que spectateur. Il la façonne comme il a envie. Une sorte d'eugénisme envers elle, tu vois. C'est son petit enfant, d'une certaine manière.
Là, il est pas loin de Brooklyn. Pile en face de la baie de Jamaïque. Enfin dans un endroit où il comprend la conversation des gens à côté. Juste avant il était à Dublin. Il a toujours pas reparlé à ses parents. Ils ne lui parlent plus non plus. À quoi bon.
Il a les pieds dans l'eau, elle lui monte jusqu'aux genoux. C'est comme si elle l'attrapait, elle le tire vers les abysses de l'océan.
Là, il fait des dessins avec la buée des vitres du bus. Parce qu'il pleut à Londres.
Ils se tiennent par la main pour éviter de se perdre de vue, parce que la boîte de nuit est bondée. En un regard, il sait qu'elle veut sortir d'ici. Donc il se débat pour quitter la pièce. Just let it be. Une fois sortis, elle court vers la rambarde qui l'empêche de tomber dans la Seine. Let the ashes fall.Il reste planté là, à la regarder. Unique, cette fille-là. Ses cheveux couleur perle rose volent au vent. Il l'aime si fort. Puis elle passe une jambe par dessus, puis l'autre. Sa jupe s'en relève, et on voit sa dentelle. Mais il s'en fiche. Sa peau encrée ancrée dans son esprit. Elle se tourne quelques secondes et elle lui lance un de ces regards à lui glacer le sang. I'll remember the days went beneath your clothes. Le doré de son manteau allume la petite flamme dans ses yeux. Puis il se met à pleuvoir. Mais c'est pas grave. Parce que le bruit des grelons ressemble à des applaudissements, et que même trempé elle domine la scène. I will build a house on the road. Et toutes les mauviettes se cachent sous leurs parapluies. I wear my blood on my tie. Mais elle reste sur son trône de déchets. Elle règne sur son royaume de bidonvilles. C'est la propriétaire des plus belles maisons de poupées. Et elle a beau ne pas être la plus grande lumière, elle l'est à ses yeux. He told me i was so small. I told him water me. I promess I will grow tall. When making love is free. C'est là où ils se sont mariés un quart d'heure plus tard. Pas officiellement, bien sûr. Mais ils se sont mariés pour eux. Pas pour leurs familles ni pour la mairie ni pour la France. Puis ensuite il a passé la nuit à redessinner ses tatouages de la pulpe de ses doigts, éclairé par les néons bleus de la chambre d'hôtel, la soie caressant sa peau nue délicate.
Et c'est le jour d'après qu'il a disparu. Exactement cinq heures après le dessin de l'encre dans la peau de la fille. Il s'est cassé dans le Bronx. Et elle l'a jamais revu.
You're mine.

+ (F) besoin de la fille dont je parle dans l'histoire du mariage plus haut.  ils se seraient rencontrés à Paris, puis ils se seraient revus au même endroit où ils se seraient rencontrés : en boîte de nuit, mais à new york. je parle de tatouages dans mon histoire. ils sont facultatifs mais peuvent aider pour le lien puisque luci est carrément fan d'eux et qu'ils l'intéressent grandement ils se seraient donc revus puis leur relation aurait repris son envol. (libre)
+ (F/M) besoin d'un partenaire de beuverie. quelqu'un qu'il peut appeler pendant la nuit lui demandant de venir se fumer une clope et de boire une bière et qui dirait oui sans hésiter. quelqu'un de prêt. mais ils ne parlent pas vraiment, ils ne se connaissent pas réellement. c'est plus des sortes de collègues, rien d'autre. il ne faut donc absolument pas quelqu'un de bavard pour ce lien, au contraire, quelqu'un de plutôt solitaire. (libre)
+ (F/M) besoin d'une muse. celui ou celle qui l'inspirera à écrire d'inombrables chansons plus stupides les unes que les autres, celui ou celle qu'il peindra du bout des doigts jusqu'à quatre heures du matin, celui ou celle qui le gardera éveillé. puis celui ou celle après qui il courra après sans jamais vraiment l'atteindre, sans jamais réellement arriver à le ou la séduire. quelqu'un qui a l'habitude de jouer les difficiles serait parfait pour ce personnage. quelqu'un qui aura le cran de l'embrasser le soir et de le repousser le lendemain matin. quelqu'un d'un peu incompréhensible, mais d'attirant. (libre)
+ (F) besoin d'une nana qui l'aime énormément, qui est fan de lui, mais qui est trop naïve pour voir que ce n'est pas réciproque et qu'il lui ment, qu'il la manipule. une fille qu'il se tape un jour et à qui il ne parle plus le lendemain. qui ferait tout pour passer une soirée avec lui. qui laisserait tomber une réunion de famille juste pour aller fumer une cigarette avec lui. une fille qui copie ses tics, ses tocs, pour essayer de lui plaire. qui cherche à écouter la même musique de tarés que lui, pour avoir un sujet de conversation. elle a trop besoin de lui, mais c'est juste un plan pour lui. une personne extrêmement naïve s'impose. une fille plutôt mignonne que bonne, qui aurait perdu sa virginité avec luci sans qu'il le sache, puis qui va raconter à ses copines tout ce qu'elle fait avec lui dès qu'elle le quitte. une demoiselle plus jeune que lui, possiblement toujours en train d'étudier à la fac ou quelque chose du genre, serait extrêmement bien accueillie  (ce serait un plus) (libre)
+ (M) besoin d'un ami. un monsieur qu'il a rencontré pendant son grand voyage, donc entre 2008 et 2011, peu importe l'endroit. leur relation est ambigüe, elle l'a toujours été. ils se cherchent un peu sans jamais admettre leur attirance pour l'autre. ils se seraient revus (peu importe l'endroit) à new york puis on continué de se voir, tout en s'évitant, un peu un suis moi je te fuis fuis moi je te suis. une personne qui touche au domaine artistique est requise, il leur faut un point commun et celui là est parfait. ils pourraient avoir joué ensemble, ou simplement peint ensemble, ils se peignent mutuellement sinon. (libre)


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MessageSujet: Re: LUCI - A HANDSOME WOMAN   LUCI - A HANDSOME WOMAN EmptyLun 6 Juin - 20:28
Les hommes


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MessageSujet: Re: LUCI - A HANDSOME WOMAN   LUCI - A HANDSOME WOMAN EmptyLun 6 Juin - 20:29
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MessageSujet: Re: LUCI - A HANDSOME WOMAN   LUCI - A HANDSOME WOMAN EmptySam 14 Jan - 11:57
je cherche quelqu'un qui ait le pouvoir de faire douter lenny de sa sexualité 69 et je crois que luci le pourrait!
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MessageSujet: Re: LUCI - A HANDSOME WOMAN   LUCI - A HANDSOME WOMAN Empty
 

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