lou || accentuate the positive. eliminate the negative.
Bellamy H. Cotton
▼ Date d'inscription : 12/09/2014 ▼ Messages : 307 ▼ Avatar : young harold. ▼ Crédits : m&tumblr.
Sujet: lou || accentuate the positive. eliminate the negative. Dim 26 Oct - 0:58
Lou Finnley Silverwood
ft. harry styles
Nom +Silverwood. Prénom(s) +Lou Finnley. Date et lieu de naissance +23 novembre 1993, à Montréal. Âge +va sur ses vingt-et-un ans. Nationalité +québécoise. Origines +françaises. Situation amoureuse +libre comme l'air. Sexualité +pansexuel. Métier +boulanger. Groupe +Light The Way. Caractère +candide, intelligent, maladroit, perfectionniste, spontané.
J'ai une tâche de naissance sur le poignet droit. + Les bananes, c'est ma vie. Mon surnom c'est banana kid, même. + J'ai un caleçon fétiche spiderman. Il m'a aidé pour beaucoup trop d'occasions. + Quand j'étais petit, je coloriais sur mes toasts avec du colorant alimentaire et je n'ai jamais perdu cette stupide habitude. Quand mes clients sont triste, je le fais même pour eux parfois. + Il vaut mieux être mon ami que mon ennemi. Quand je m'énerve (ce qui est très rare parce qu'il m'en faut beaucoup), je suis plus la même personne. + Je me suis fait attaquer par une chèvre une fois. Ça a été l'expérience la plus traumatisante de toute mon existence. + Quand je dis un truc de méchant, je le regrette immédiatement parce que je crois beaucoup trop au karma et j'attends ma sentence, j'attends que la roue tourne comme un gros peucheure parce que je sais que j'ai fauté et je sais qu'il faut que je paye. J'ai un problème. + Je dors tout nu et j'adore le jus de pomme. + Je prends plusieurs douches par jour ; une quand je me lève, une quand je rentre du travail et une avant de quitter mon appartement pour retourner travailler. Ma chanson préférée sous la douche c'est Under the Bridge des Red Hot. Je fais même l'intro-guitare avec ma bouche. + Je hais les olives, les olives c'est Satan. + J'ai été boy au pair pendant deux ans en Angleterre. + J'écoute un peu trop d'indie musique. + J’ai toujours eu l’impression que mes posters me regardaient et pendant longtemps ça a été la plus grosse de mes angoisses. + Je pense que ma maladresse me tuera un jour. + Je suis végétarien et je ne bois plus de coca-cola. + Je donne des noms à mes objets favoris. Je suis shady af, donc parfois quand je parle, les gens me comprennent pas et ça m'apporte une satisfaction étrange. + Je connais mes tables de multiplication par coeur, j'ai une mémoire photographique assez impressionnante et je suis synesthète. + Je vais faire un footing au moins trois fois par semaines. + je suis philosophe à mes heures perdues (et avec beaucoup d’alcool dans le système) + Je lis énormément. + J'aime beaucoup la photographie mais je me trouve extrêmement mauvais. + Je m'endors très très facilement. N'importe où, n'importe comment, dans n'importe quelles circonstances... ce qui peut-être très dangereux pour moi parce que mes amis sont infiniment vicieux et je sais jamais dans quel état ou conditions je vais me réveiller. Mais c'est idéal pour les power nap. + Il y a probablement un peu trop de fleurs sur mon balcon. Elles aussi ont toutes des prénoms. + Quand je tombe amoureux, je deviens un peu trop romantique et c'est presque embarrassant. + Je fais le tri sélectif, la lumière de mon frigo ne marche plus et je me déplace en tricycle. +
Qu'est-ce qui t'as fait venir vivre à Montréal ? Mes parents se sont rencontrés en France, ont vécu quelques années là bas et ont décidé de venir s'installer ici alors que ma mère était enceinte jusqu'aux dents. En d'autres termes, j'ai toujours vécu là, à Montréal.
Si tu devais vivre ailleurs ce serait où, et pourquoi ?Probablement à Londres. Une grosse partie de moi se trouve là bas.
Participes-tu à la vie culturelle de la ville ?Je suppose? Quand je suis pas en train de bosser et quand je suis pas trop claqué, je me paye un billet pour assister à des festivals ou pour aller au théâtre... des fois, j'suis même tellement hipster que je vais traîner dans des musées pour faire genre j'suis un mec complexe et cultivé.
Voir de plus en plus de touristes, ça te fait quoi ?J'adore rencontrer de nouvelles personnes, c'est toujours agréable d'échanger avec eux et ils sont trop drôles avec leur énorme package plus gros qu'eux planté sur leur dos comme une carapace, leur appareil-photo du siècle dernier pressé entre les mains et leur plan de la ville qu'ils tiennent à l'envers. Le meilleur, c'est leur mine déconfite qui appelle au désespoir quand ils sont complètement paumés. Ce que je leur reproche, par contre, c'est leur lenteur. Ils traînent sur la route, le long des trottoirs et c'est un peu agaçant. Mais bon, on va pas se mentir, leur présence fait quand même du bien aux affaires.
Trouves-tu qu'il y a assez d'événements culturels ?Bien sûr, on va pas se plaindre. Montréal est une ville vivante, sinon il n'y aurait pas tout ce beau monde.
Plutôt caribou ou lynx ?Quelle question. Caribou, évidemment.
behind the scene
ton pseudo/prénom +megan. ton âge +almost 20. ton pays/ta région +sweet sweet paca. comment as-tu connu le forum ? +oh, c'est une longue histoire. qu'en pense-tu ? +c'est trop merveilleux *zyeux qui brillent*. ta présence +autant que je peux. es-tu un scénario ? si oui, de qui ? +nah!un dernier mot ? +vous êtes trop coolos, j'vous aime trop, merci de m'avoir intégré au le clan.
Code:
◤ <qu>HARRY STYLES</qu> + <av>lou f. silverwood</av>
Bellamy H. Cotton
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Sujet: Re: lou || accentuate the positive. eliminate the negative. Dim 26 Oct - 0:59
As you see I am still quite an optimist and soon I hope I can laugh about this - a laughter without that protective false ring.
Je glisse mon dernier carton dans le coffre de ma voiture et soupire de contentement et levant les yeux vers la bâtisse de ma maison. La maison dans laquelle j'ai grandi. J'ai du vague à l'âme à l'idée de quitter cet endroit parce que ces murs renferment des milliers de souvenirs. Mais c'est réellement tout ce dont j'ai besoin aujourd'hui.
L'atmosphère est devenue trop étouffante depuis la mort de ma mère. Mon père est littéralement devenu l'ombre de lui même. Elle a passé ses derniers instants à l'hôpital et quand nous sommes rentrés à la maison, sans elle, il a cessé de parler, il a cessé de quitter leur chambre et je me suis retrouvé seul. Ma grand-mère est venue s'installer à la maison pour s'occuper de lui parce que je ne savais pas comment l'approcher. J'étais moi-même extrêmement malheureux et j'avais peur de le tirer vers le bas plus qu'autre chose.
Tout était insoutenable ; l'entendre pleurer le soir, le fuir du regard lorsqu'on s'installait à table pour manger parce que c'était affreux de le regarder fixer la chaise vide que Maman occupait... J'ai eu besoin de m'enfuir.
Je suis partis pendant deux ans à Londres, en tant que boy au pair, dans l'idée de fuir mon quotidien avec cet insatiable désir de faire mon deuil et de me remettre de cette affreuse perte sans avoir le visage fermé et le regard vitreux de mon père pour me rappeler le malheur qui nous est tombé dessus tout les jours sous le nez.
M'occuper d'enfants, me plonger dans la culture anglaise et faire des rencontres m'a aidé à me sentir mieux et à me sortir la tête de l'eau. En deux fois 365 jours, j'ai énormément mûri. Ce voyage m'a changé et je suis rentré en Amérique épanoui, mature et accompli, avec des tas d'ambitions dans la tête.
Je suis rentré changé, mais c'était comme si à la maison, les choses s'étaient figées en attendant mon retour et quand j'ai franchi la porte de chez moi, j'ai ressenti ce même poids retomber sur mes épaules, celui qui m'enfonçait avant que je ne m'en aille et mon père se trouvait dans un état similaire à celui dans lequel je l'avais laissé. Je sentais dans ses faits et gestes qu'il s'était fait à l'idée qu'elle ne reviendrait pas, mais sa tristesse était toujours visible sur son visage et dans le ton de sa voix.
J'ai directement décidé de trouver un travail et j'ai commencé à postuler dans plusieurs endroits, espérant recevoir une réponse positive pour n'importe quel poste le plus rapidement possible. J'avais aucune envie de rester chez moi. La maison me rappelait trop ce que j'avais essayé d'échapper et en la fréquentant le plus rarement possible, je me disais que j'avais moins de chances de replonger dans ma peine.
Avec un diplôme de boulanger pâtissier en poche, que j'avais obtenu juste avant de m'envoler pour le Royaume Uni, j'ai été retenu pour un job dans un petit salon de thé, dans le quartier gai de Montréal. Je pensais terminer dans une boulangerie et pétrir du pain toute la journée, mais ce boulot est idéal pour moi, au final. Je fais ce que j'aime et je rencontre du monde parce qu'en plus de passer du temps derrière les fourneaux, j'ai aussi quelques heures au comptoir durant lesquelles je serre les gens.
Je crois que tout aurait pu être parfait pour moi, à cette époque là, si j'avais eu mon propre appartement. Tout tombait en place. J'avais un job qui me plaisait, des collègues de travail coolos qui me laissaient dormir chez eux parfois et j'avais de l'argent qui me permettait de faire quelques folies de temps à autres.
J'étais aux anges lorsque je travaillais et la pire partie de la journée était quand j'avais à rentrer et à affronter l'ambiance mortelle - c'est un mauvais jeu de mot, désolé - qui régnait chez moi.
Bien évidemment, je passais mon temps à chercher un endroit où vivre pour enfin pouvoir quitter le cocon familial, mais les studios et appartements sur lesquels je tombais étaient trop cher ou trop loin de mon lieu de travail.
Il faut croire que quelqu'un a fini par entendre mes prières parce qu'un beau jour, je m'en rappelle comme si c'était hier, une cliente est rentrée dans le salon de thé, s'est approchée du comptoir pour commander une boisson chaude et un croissant et elle m'a demandé de sa voix brisée et rauque si elle pouvait laisser une petite annonce aux côtés de celles qui trônaient déjà sur le bord de la caisse parce qu'elle cherchait un troisième colocataire pour l'appartement qu'elle détenait pas très loin.
Et c'est comme ça que je me retrouve ici aujourd'hui. Ma voiture chargée de mes cartons, prêt à aller m'installer dans mon nouvel appartement. On est trois garçons et une fille.
J'ai l'impression de repartir à l'aventure. Une vie en colocation, c'est jamais de tout repos, y paraît, et c'est comme si je sautais dans un avion pour l'Angleterre une seconde fois : je sais absolument pas ce qui m'attend, mais j'ai foutrement hâte.
Sujet: Re: lou || accentuate the positive. eliminate the negative. Ven 31 Oct - 17:40
T'es validé !
-J'adore totalement les anecdotes sur ce Lou 2.0 , il est génial vraiment ! Puis le karma toussa ahaha. Bref, on se fait un topic ? dis oui dis oui ! L'histoire est concise mais claire, pi la voix rauque de la jeune femme BON BIEN SÛR QUE JE TE VALIDE CHOUCHOUNE -
Te voilà donc validé, prêt à partir à l'aventure ! Grand bien t'en fasse, nous sommes ravis de t'accueillir parmi nous ! Bien sûr, avant de te lancer totalement dans le jeu, il faut que tu te trouves des camarades avec qui rp ! Pour ça, rends-toi juste ici et postes ta fiche de liens pour avoir pleins d'amis ! Ensuite, il est très important de recenser le métier de ton personnage juste là, ainsi que son logement par ici (bah oui parce que sinon il est à la rue le pauvre ). Si tu n'as pas envie d'être seul et que tu as une idée claire de lien, tu peux toujours créer un scénario dans ce coin. Et si comme nous tous, tu es un addict des jeux en tout genre, viens faire un tour juste là pour qu'on puisse s'amuser tous ensemble !! Voilà, je crois que c'est tout ! Bon jeu !
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