Nom +de merteuil, la mer en deuil. Prénom(s) +camille, comme le compositeur de la danse macabre. hedwig, la chouette qui n'est plus. Date et lieu de naissance +montréal, t'es tellement froide, une ours polaire dans l'autobus. Âge +vingt-et-un ans, l'âge de la jeunesse. Nationalité +québécois, même si ses papiers le jugent canadien. Origines +françaises de ses parents. Situation amoureuse +coeur enterré. Sexualité +en vrac. Métier +sauveteur des noyés pendant les grandes vacances, employé à la cinémathèque québécoise pendant la saison scolaire. ancien étudiant en cinéma à l'uqam, avant qu'il n'abandonne. Groupe +on my way. Caractère +efféminé, tactile, bon comédien, romantique même s’il aimerait parfois être moins fleur bleue, indépendant, prêt à tout pour obtenir ce qu’il veut, comique, bordélique, vulgaire, nostalgique, sociable, têtu, narcissique, sensible, impulsif, artiste, admirateur des belles choses, surtout de l’art en général, critique, perfectionniste, dur envers lui-même, moqueur, bavard, condescendant lorsque l’autre personne semble être inculte, il aime choquer
+ Anecdote, tic, habitude, manie, tout ce que tu veux. + Anecdote, tic, habitude, manie, tout ce que tu veux. + Anecdote, tic, habitude, manie, tout ce que tu veux. + Anecdote, tic, habitude, manie, tout ce que tu veux. + Anecdote, tic, habitude, manie, tout ce que tu veux. + Anecdote, tic, habitude, manie, tout ce que tu veux. + Anecdote, tic, habitude, manie, tout ce que tu veux. + Anecdote, tic, habitude, manie, tout ce que tu veux. + Anecdote, tic, habitude, manie, tout ce que tu veux. + Anecdote, tic, habitude, manie, tout ce que tu veux. + Anecdote, tic, habitude, manie, tout ce que tu veux. + Anecdote, tic, habitude, manie, tout ce que tu veux. + Anecdote, tic, habitude, manie, tout ce que tu veux. + Anecdote, tic, habitude, manie, tout ce que tu veux. + Anecdote, tic, habitude, manie, tout ce que tu veux. + Anecdote, tic, habitude, manie, tout ce que tu veux. + Anecdote, tic, habitude, manie, tout ce que tu veux. + Anecdote, tic, habitude, manie, tout ce que tu veux. + Anecdote, tic, habitude, manie, tout ce que tu veux. +
Qu'est-ce qui t'as fait venir vivre à Montréal ? Je suis venu à Montréal suite à l’Accident Parisien, celui qui a tout changé, ou plutôt devrais-je dire que j’y suis retourné. Car j’ai grandi à Montréal, je connais ses coins et ses recoins. Montréal, c’est ma maison, mon refuge, tout ce qui me reste à la fin. Je sais que c’est très pessimiste de ma part, mais en toute honnêteté, je n’ai plus rien, plus rien à quoi m’accrocher, plus rien – comme dans la chanson des Cowboys Fringants, sauf que je ne suis pas le dernier humain de la terre. Et plus grand-chose dans le portefeuille non plus. .
Si tu devais vivre ailleurs ce serait où, et pourquoi ?Paris, même si je hais cette ville. Paris, parce qu’Eva dort à Paris. Paris, qui me rappelle mes lointaines origines, Paris qui fût la maison d’Eva et la maison de beaucoup de personnes qui sont mortes aussi. Des personnes importantes, célèbres, qu’on admire encore dans les grandes écoles avec cette folie dans l’œil qui crie que non, l’art et la littérature ne crèveront pas – les pneus immortels qui roulent sur la route des incultes..
Participes-tu à la vie culturelle de la ville ?Je vois des films, j’emmerde Hollywood mais je vais voir des merdes commerciales quand même, je lis des mots, j’achète des pages, je paie des notes musicales, des disques qui pénètrent des fentes noires et qui crient de jouissance, je sue aux festivals élitistes avec des amis, j’insulte le parti libéral qui veut pas cracher ses sous pour les bibliothèques, après je ne sais pas ce que vous voulez dire par vie culturelle..
Voir de plus en plus de touristes, ça te fait quoi ?Vous voulez parler des touristes purs et durs ou des immigrants qui plantent leurs tentes à jamais avec leurs accommodements raisonnables ? Il s’agit de deux choses complètement différentes, d’ailleurs ça nous ramène à la Charte de la Marois, alias le truc qui lui a fait perdre les dernières élections. En ce qui concerne les touristes, ça m’est égal car Montréal est une ville attrayante et il est normal que les gens aient envie de la visiter. En ce qui concerne les immigrants, eh bien Montréal est déjà une ville pluriculturelle alors un Québécois d’adoption de plus ou de moins, ça ne fait aucune différence. Tant qu’ils apprennent à bien s’intégrer et qu’ils ne nous font pas chier avec leurs conneries religieuses différentes de la nôtre, ça va. Voilà, c’est dit..
Trouves-tu qu'il y a assez d'événements culturels ?C’est ben correct de même. Autrement dit, ça va comme ça. La culture pullule dans cette ville et c’est une bonne chose. J’aime encourager la culture locale, indépendante ou commerciale, française ou anglaise. Mais surtout française, parce que choisir l’anglais, well that’s clearly the easy way. Encore beau que Dolan fasse pas ses films en anglais. Bref, ça ne veut pas dire que je ne suis pas impliqué culturellement parlant dans ma ville si je n’ai pas fini mon bac à l’UQAM, voyons donc. .
Plutôt caribou ou lynx ?ici, détaillez un peu, racontez nous tout tout tout, on vous écoute..
behind the scene
ton pseudo/prénom +basket case./angélique.. ton âge +vingt-et-un ans.. ton pays/ta région +québec, canada. . comment as-tu connu le forum ? +via billie/chloé, cette tentatrice. . qu'en pense-tu ? +très beau forum, avec une ville originale, qui plus est. cependant, ça manque pas mal de personnages francophones donc je viens rétablir la balance. . ta présence +tous les jours, sauf empêchements.. es-tu un scénario ? si oui, de qui ? +non.. un dernier mot ? +gens du pays, c'est votre tour de vous laisser parler d'amouuuuur. .
Code:
◤ <qu>VLADIMIR AVERYANOV</qu> + <av>camille de merteuil</av>
Invité
Sujet: Re: couler dans l'amer. Lun 13 Oct - 17:43
j'voudrais leur dire qu'elles sont belles puis qu'il faut pas qu'elles pleurent pour un idiot. puis qu'il faut qu'elles arrêtent d'être connes et de tomber toujours amoureuses de celui qu'il faut pas et que moi, si elles voulaient, moi je serais gentil avec elles. mais les filles aiment pas qu'on soit gentil, elles aiment pas.
« Maman ? Dis, pourquoi mon second prénom, c’est celui de la chouette de Harry Potter ? » Voilà la question qui avait embêté le jeune garçon, depuis l’âge où il avait appris à penser. Et la réponse, inéluctable, de sa mère, qui tombait à chaque fois : « Tu sais très bien que ton père est le coupable dans cette histoire. C’est lui qui tenait à t’appeler ainsi. » Ouais, facile à dire quand le père en question n’était même plus sur Terre pour se défendre. Non pas que le garçon détestât son second prénom, au contraire il l’aimait. Seulement, c’était un bien curieux choix de prénom et cela soulevait pas mal de questions dans son entourage. Notamment en classe. Camille poursuivait : « Tu crois que si je le mentionne dans ma prière de ce soir, il va me répondre dans mes rêves ? » Les de Merteuil étaient en effet des Catholiques pratiquants et allaient à l’Église chaque dimanche matin. C’était sa mère qui lui avait enseigné à croire en Dieu. « Peut-être bien. Essaie toujours. » Le mère et le fils, originaires de Paris, vivaient dans un petit appartement montréalais depuis le décès de Monsieur de Merteuil, décédé peu après la naissance de Camille d’un anévrisme au cerveau. Ils avaient ensuite déménagé à Montréal pour un changement de décor. Pour oublier... ou pour tenter d'oublier. Le garçon ne l’avait jamais connu et même s’il trouvait cela dommage, il n’en était pas meurtri intérieurement. Il se contentait de l’amour de sa mère et cela lui convenait très bien.
« Hugo, t’as déjà embrassé une fille sur la bouche ? » demanda candidement Camille, onze ans. Son meilleur ami Hugo haussa les sourcils. Ils étaient chez Hugo, après les cours, et mangeaient des biscuits au chocolat préparés par la mère de Hugo, avec chacun un grand verre de lait. Assis tous deux à la table de la cuisine, les deux garçons dévoraient leur collation, mais Camille venait d’aborder un drôle de sujet. « Non, pourquoi ? » Camille haussa les épaules, un peu embarrassé. Il croqua dans son biscuit. « Moi non plus. Je me demandais juste ce que ça faisait. » « T’es bizarre de penser à ça. » « Ouais, je sais. » Long silence. Puis : « Et un garçon, t’en as déjà embrassé un ? » Hugo s’étouffa presque avec son verre de lait. Camille vint à sa rescousse, lui tapotant le dos. « Tu disais ? » demanda Hugo, reprenant son souffle avec misère. « T’as déjà embrassé un garçon ? » répéta patiemment Camille, curieux de la réponse. Hugo fronça les sourcils, en dévisageant son meilleur pote. « Nan, mais t’es fou ou quoi ? » « Mais non, je te pose juste une question. Pas la peine de t’énerver comme ça, » se défendit Camille. « Attends… Toi, tu l’as déjà fait ? » Camille n’hésita même pas à hocher vigoureusement la tête, confirmant les craintes de son ami. Ce dernier ouvrit grand les yeux, la bouche légèrement ouverte. « Qui ? » demanda-t-il en un souffle. Têtu, Camille refusa à dévoiler son secret. « Oh, allez, dis-moi. Dis-moi ou je ne suis plus ton meilleur ami, » le menaça Hugo. Camille sourit avec indulgence devant l’impatience de Hugo, puis capitula. « Bon, très bien. Approche, je vais te le dire dans le creux de l’oreille. » Hugo obtempéra, mais lorsqu’il approcha sa tête de l’autre garçon, ce dernier n’hésita pas une seconde à plaquer ses lèvres contre les siennes. Hugo sursauta violemment, se cognant le genou sur la table. Il cria de douleur, rompant ainsi le court échange buccal. « Camille, mais qu’est-ce qui te prend ? » s’exclama-t-il, dégoûté. « Je… je suis désolé, » s’empressa de dire Camille, en réalité plus désolé que son ami se soit involontairement blessé que de l’avoir embrassé. « Je crois qu’il vaudrait mieux que tu t’en ailles, je suis capable de finir les biscuits tout seul, » affirma froidement Hugo. Déconfit, Camille accepta le refus de son ami et se leva de table, se dirigeant vers la porte. Mais il se retourna une dernière fois, pour dire : « Hugo. » « Quoi ? » « Non, je veux dire, c’est ça, la réponse à ta question. » Il n’obtint aucune réponse, mais il n’en avait pas besoin. Il avait très bien compris le message. Le silence était plus révélateur que toutes les belles phrases du monde.
L’heure de fermeture du petit café approchait. Et pourtant, la jeune femme restait assise à sa table, près de la vitrine. Un roman étranger à la main, elle parcourait les pages un peu jaunies, inconsciente de ce qui se passait autour d’elle. Camille, le seul employé de ce soir, regardait l’horloge accrochée au mur, une main sous son menton. Il soupirait d’ennui en suivant des yeux la flèche des secondes tourner sans fin. Puis, lorsque ce fut le moment de fermer boutique et que la belle inconnue demeurait assise et immobile, Camille sourit d’indulgence. Il devait être vraiment bon, son bouquin. Il pouvait comprendre cela ; lui aussi, il aimait lire. Cependant, il ne pouvait pas rester planté là toute la nuit pour lui faire plaisir. Il s’approcha donc d’elle. « Excusez-moi mademoiselle, mais vous devez partir. » Elle leva les yeux de son roman et les plongea dans ceux de Tristan, qui en fut littéralement subjugué. Un bref instant, il crut mourir sur place, puis se ravit de partir d’une aussi belle manière. C’était encore plus beau que la pensée de s’éteindre dans son lit. La belle étrangère, car c’était bien une étrangère, le regardait. Il remarqua son accent, français devina-t-il, dès qu’elle ouvrit la bouche. Une belle bouche, avec des lèvres pleines et juteuses, prêtes à être croquées. « Je n’aime pas être chassée alors que je suis plongée dans la lecture de… » Elle cita alors un auteur aux sonorités allemandes que Camille oublia la seconde suivante. « J’en suis réellement navré, mais c’est l’heure de fermeture. » Il lui offrit un regard d’excuse. « Ne vous en faites pas, je comprends. Me sera-t-il possible de revenir demain matin, dans ce cas ? » « Naturellement. » « Bien, alors je reviendrai. » C’est ainsi que Camille fit la connaissance, pour la première fois, d'Eva. Il ignorait son nom, à ce moment-là. Ce ne fut que plus tard qu’il l’apprit, au détour d’une banale conversation.
L’étrangère revint comme elle l’avait dit le lendemain, puis le surlendemain, puis tous les jours de la semaine – sauf le dimanche, puisque le café était fermé ce jour-là. Camille apprit à la connaître pendant ses pauses et aux fermetures. Il se trouva que Eva était une Française d’origine russe. Elle avait passé les vingt premières années de sa vie dans la ville de Paris, mais avait décidé de voyager avant qu’il ne soit trop tard. Lorsque Camille lui avait demandé des explications à ce sujet, elle était partie d’un rire cristallin, en précisant : « Avant que le temps ne m’ait rattrapée, bien sûr. » Eva était une jeune femme très mystérieuse et très mature. Elle dégageait un charisme exotique et littéraire. En fait, elle ne vivait pas en harmonie avec son époque, elle fumait comme une cheminée, comme sa mère avant elle avait fumé et s’exprimait avec l’aisance d’une poétesse des temps anciens. Ce devait être la faute de tous ces bouquins qu’elle avalait et de tous ces sourires de contentement qu’elle régurgitait, jour après jour. Les semaines passèrent, l’été tira à sa fin et l’appel de la fac retentit pour Camille, qui étudiait en cinéma dans l’espoir d’être un jour un grand réalisateur. Mais Eva avait d’autres projets en tête. Au dernier jour d’été, elle vint le voir au café, lieu de toutes leurs rencontres, de tous leurs rendez-vous implicites. Elle lui annonça, simplement, de sa voix chaude porteuse d’océans et de plages de sable fin : « Je m’en vais, Camille. » Le jeune homme, qui lavait une table à ce moment-là, releva la tête et afficha une moue déçue. Il lui souhaita, malgré son évidente amertume, de passer un bon voyage, où qu’elle aille. Elle le surprit alors en lui demandant, avec cet accent inimitable qui était le sien, s’il souhaitait l’accompagner. « Que dirais-tu de l'Égypte et des pyramides qui brûlent au soleil ? »
Camille, en quelques mois, dit adieu à ses études et à la petite fortune qu’il avait amassée, année après année, depuis ses seize ans. Il avait rapidement pris plaisir à voyager de ville en ville, de pays en pays, en compagnie de la femme de sa vie, Eva. Car elle était la femme de sa vie, il le sentait. Jamais n’avait-il plus cru en l’amour que pendant l’année de ses vingt ans. Ensemble, Camille et Eva traversèrent une bonne partie de l’Europe, se contentant des plus modestes services, dormant parfois dans les parcs désertés, comme des clodos. Tel était le mode de vie à la sauvage d'Eva. Celle-ci parlait couramment plusieurs langues étrangères et transmit son savoir au jeune homme. Puis, finalement, lorsque la fin de l’hiver arriva, la jeune femme en eut assez et déclara qu’elle rentrait au bercail. Elle rentrait à Paris. « Tu peux m’y accompagner ou rentrer à Montréal, c’est comme tu veux. » Bien que la perspective de revoir sa famille et ses quelques amis était alléchante, le cœur de Camille appartenait à la jeune femme et puisqu’elle avait décrété vouloir retourner à l’autre bout du monde, il ne pouvait que la suivre, comme un petit chien perdu. Paris, ce serait aussi sa maison.
Il n’avait rien pu prévoir. Tout était allé si vite. Il regardait la route, discutant allègrement avec Eva, assise près de lui. La nuit était encore jeune, tout leur semblait beau et sujet à dissertation pour les nombreuses heures à venir. Ils étaient, après tout, des intellectuels ; c’était leur devoir de critiquer leur époque, comme les générations d’intellectuels avant eux l’avaient fait. Ils roulaient à vive allure sur l’un des nombreux boulevards parisiens, se fichant de la vitesse, du temps et des sentiments. Discuter, s’embrasser, baiser férocement sur les sièges arrières, discuter encore. Ils appelaient ça leurs errances nocturnes, ne rentraient qu’à huit ou neuf heures du matin chez les parents de Eva, juste à temps pour le petit-déjeuner. Comme si de rien n’était. Mais cette nuit-là, tout avait dérapé. Pas seulement la voiture, mais aussi leur bonheur. Cette nuit-là, leur été s’achevait pour la première et dernière fois.
Invité
Sujet: Re: couler dans l'amer. Lun 13 Oct - 17:50
bienvenuuuuuuuue :love:
si tu as un souci, n'hésite pas
Invité
Sujet: Re: couler dans l'amer. Lun 13 Oct - 18:00
merci. :mignon: sinon, tu ne m'as pas reconnu, hm ?
Invité
Sujet: Re: couler dans l'amer. Lun 13 Oct - 18:02
...... maintenant que tu le dis, j'avais un gros doute, alors au lieu de passer pour une con, autant rien dire
Bienvenue et bon courage *^* J'espère que tu te plairas parmi nous ♥ (Ouhla, si t'as un lien avec l'un des Caulfield, ça peut être sympa de voir si on en trouvera un avec le numéro 2 =P *Doit encore créer le compte, mais c'est prévu*)
Invité
Sujet: Re: couler dans l'amer. Lun 13 Oct - 20:25
Bienvenuuuue Bon courage pour ta fiche ! Amuse toi bien sur le forum
Officiellement bienvenue rouquine de mon coeur :P hihihihi Bon courage pour la suite de ta fiche !
Invité
Sujet: Re: couler dans l'amer. Lun 13 Oct - 20:37
merci beaucoup à vous. :mignon: ~ riley : hawn, c'est toi l'autre jumeau ! si je ne me trompe pas, c'était pas toi anthony sur AL, avec aussi gerard en avatar ? :sucette: ~ liv : la belle emma. ~ billie : toooooi.
Invité
Sujet: Re: couler dans l'amer. Lun 13 Oct - 20:51
Je connais pas le bel homme sur ton avatar mais bon sang que j'approuve Bienvenue !