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 LINCOLN + You're a flame, I'm fire

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LINCOLN + You're a flame, I'm fire  Empty
MessageSujet: LINCOLN + You're a flame, I'm fire    LINCOLN + You're a flame, I'm fire  EmptySam 23 Avr - 22:09
Lincoln Davis

Yo ! Comme tu as pu lire, moi c'est Lincoln mais honnêtement, la plupart des gens m'appellent plutôt Linc. Je fête cette année mes 51 ans, je suis né-e le 10 mars 1965 à New York. Je suis d'origine américaine et de nationalité américaine et vis à New York depuis toujours, dans le quartier de Brooklyn. Ici je suis ouvrier, mais j'aime aussi le feu, en revanche ne me demandez pas de rester enfermé car je suis claustrophobe..., j'aime pas ça. C'est sans doute pour ça que mon crew c'est plutôt les Stfu ! On me distingue d'ailleurs par ma pyromanie
Il paraît que je suis travailleur, loyal mais aussi impulsif et légèrement psychopathe. Personne n'est parfait. D'ailleurs personne ne le sait mais je suis issu d'une famille riche. Et pour aller un peu plus loin dans l'intimité on peut dire que je suis hétérosexuel et célibataire.

『 Au bar, tu commandes quoi ? - vodka
『 Pour sortir, tu vas où ? Club, concert, expo', tu reste chez toi.. ? - Mon truc c'est plutôt de brûler des maisons en solitaire
『 Parmi tes potes, t'es plutôt populaire ou bien ? - potes?
『 Ton smiley préféré ? - 152
『 La fashion-week, t'y vas ? - connais pas
『 Qu'est-ce qui t'angoisse le plus, le Queens ou Staten Island ? - Aucun des deux
『 The Bronx, tu fréquente  ? - Oui
『 On dit quoi sur les habitants de l'Upper East Side  ? - Je veux plus les voir!
『 Les New Yorkaises portent-elles des chouchous ? - chouchous?
『 Si tu vivais pas à New York, tu vivrais où ? - Pourquoi je vivrais ailleurs qu'à New York?






chapitre I : Ils disent que je suis pas normal

Laisse moi tranquille. Va jouer ailleurs Candice. J'suis pas ton père. Pourquoi tu me colles toujours autant? Tu peux pas aller jouer dans ton coin? C'est pas ma faute à moi si maman et papa sont jamais là parce qu'ils vont à leurs soirées bidon, et que nous on reste tout seuls au manoir. Enfin tout seuls... Ya tous les domestiques aussi. C'est comme ça qu'ils les appellent, les gens qui travaillent pour nous dans le manoir. Moi je le trouve bien trop grand le manoir. A quoi ça sert d'avoir autant d'espace? C'est pas comme si on avait besoin de tout ça, ça sert à rien à part se sentir encore plus seul.

- Fous moi la paix Candice.

- Linc s'teuplais me laisse pas toute seule, j'aime pas quand maman et papa sont pas là...

Je l'ignore, continuant à griffonner sur mon cahier alors que je suis assis au bureau de ma chambre. Si j'ajoute des ailes à mon dragon, alors il pourra voler. Candice s'en va et c'est pas plus mal. Ma petite soeur, elle est comme eux. Mes parents. Et moi j'aime pas. J'aime pas être tout le temps bien coiffé, tout le temps en costume, et devoir dire des politesses à des gens que je connais pas. J'aime pas me déguiser et faire semblant. Eux ils adorent ça c'est ce qu'il font tout le temps. J'ai jamais compris à quoi ça servait.

Je me perds dans mes pensées en regardant par la fenêtre. J'en ai marre de dessiner en fait. Je descends de ma chaise et fais un tour dans le labyrinthe du manoir. Je cherche un truc pour m'occuper. Oh des allumettes qui traînent dans la cuisine. Personne ne me voit, alors j'attrape la boite et je remonte dans ma chambre. Je me rassois à mon bureau et j'observe la boite. Je la secoue pour écouter le bruit du bois se mélanger. Puis je l'ouvre. J'attrape une allumette entre mes doigts, et je la fais craquer contre la boite. J'adore le bruit que ça fait, et quand je vois la flamme jaillir... Je sens mon coeur exploser. C'est tellement beau, le feu. C'est chaud, ça danse. Je suis en admiration devant la flamme. Je la pose finalement sur mon carnet et le feu s'intensifie, brûlant mes dessins. Je regarde les flammes, les admire. J'approche ma main, comme pour en capturer une. Non. Plutôt pour la caresser. Mais Candice arrive dans la chambre et se met à hurler. Je sursaute et fais tomber le carnet par terre. Les flammes poursuivent leur chemin. Le spectacle est de plus en plus beau. J'adore la façon dont les flammes se reproduisent à une vitesse spectaculaire. Malheureusement une domestique arrive en courant, nous sort de la pièce et éteint mon beau feu. Pourquoi les gens ont peur du feu? Il est la chaleur, la vie il... il me rend fou.


chapitre II : ça lui fait peut-être peur, d'être mort

J'aime pas la maison. Mais j'aime pas l'école non plus. Maman et papa ne sont jamais là, et les seuls fois où ils me parlent c'est pour me dire que mon comportement est étrange et que je devrais faire attention à ce que je fais, que je suis dangereux, à cause du feu. J'ai juste brûlé des choses et d'autres, des petites choses, juste pour voir. Je ne comprends pas mais surtout, j'ai mal qu'ils ne m'aiment pas.

A l'école je m'éloigne le plus possible des autres. Je ne fais que marcher dans le couloir alors pourquoi ils me pointent du doigt et murmurent dans mon dos? Les murmures j'aime pas ça. Je voulais juste qu'ils arrêtent. Qu'ils arrêtent de murmurer. C'est pour ça que j'ai frappé cette fille en plein visage. Je voulais juste qu'elle se taise.

Maman et papa s'inquiètent. Ils me disputent. Et j'aime bien ça. Parce que j'attire leur attention et ça me plait.

- Comment tu as pu frapper cette jeune fille?! Il y a vraiment quelque chose qui va pas chez toi Lincoln!!

Qu'est ce qu'elle veut dire, ma mère, par quelque chose qui va pas?

- Je voulais juste qu'elle arrête de murmurer. Ca me faisait mal.

Leur regard... Est ce qu'ils ont peur de moi? Je me jette dans les bras de ma mère. J'ai besoin de son affection. Mais elle m'éloigne.

Je suis retourné à l'école. On ne murmurait plus sur mon passage. Non les autres se taisaient et marchaient vite quand ils me croisaient. Sauf eux. Ces gars formaient un petit groupe et étaient plus âgés que moi. Je les ai bousculé sans faire exprès, et ils ont su ce que j'avais fait à cette fille. Ils m'ont proposé d'entrer dans leur groupe si je passais les tests pour y entrer. Je les voyais un peu comme une nouvelle famille alors j'ai accepté.

Les défis étaient simples. D'abord ils voulaient que je vole un jeu vidéo pour eux. Ensuite, ils voulaient que je glisse un autre jeu dans le sac d'une dame pour faire croire qu'elle l'avait volé. Je passais les tests haut la main. J'ai eu plein de petits défis comme ça. Ils m'ont aussi appris à fumer... Toutes sortes de choses. Et à boire, un peu. C'était des sensations nouvelles. Et j'aimais bien les sensations nouvelles.

- Aller, aujourd'hui, c'est ton dernier test.

J'avais 16 ans. Les test ont duré plusieurs années, et j'allais enfin réussir à faire parti de leur famille.

Ils m'emmènent dans une ruelle. Ils tiennent une enfant qui hurle et pleure. L'autre a un chiot dans les bras. Oh ce doit être le chiot de la fille.

- Tue le devant elle.

Je les regarde un instant, puis regarde la petite fille, et le chien. Je sais pas pourquoi ils veulent le tuer, mais si ça peut me permettre de faire partie de leur famille, alors pourquoi pas. J'attrape le chiot et on me donne un couteau. La fille hurle. Mais je n'ai pas mal. Je tiens le chiot par le museau d'une main, et de l'autre, je lui tranche vivement la gorge. La fillette hurle, ils la lâchent et elle part en courant. Je regarde un instant le chien au sol se vidant de son sang. Je l'observe un instant, l'air intrigué, puis lève mon visage vers ma nouvelle famille.

- Ca lui fait peut-être peur, d'être mort.

Je sors de ma poche la boite d'allumettes que j'avais volé à mes parents. Je craque l'une d'entre elle en fermant les yeux, me délectant de ce doux son. Puis je rouvre les yeux et balance l'allumette sur le chien. Il s'envole, il s'en va. Je reste un instant à observer les flammes avec fascination tandis qu'elles se reflètent dans mes yeux. Mais l'un des gars m'attrape et me tire pour qu'on se tire de là.



chapitre III : Je ne suis pas un monstre!

Mes parents ont su ce que j'avais fait, avec le groupe. La fille avait tout raconté a ses parents. Elle a dit que c'était nous. Et surtout moi. Ma mère a hurlé, et elle avait peur.

- Tu as... tué un chien... Et tu l'as... incinéré? ..... Réponds moi Lincoln!

- C'était juste un test.

Ma mère est devenue folle je l'avais jamais vu comme ça. J'avais environ seize ans ce jour là.

- Tu es un monstre!!

C'était comme si elle m'avait tué de ses propres mains. J'avais tellement mal. Je ressentais une colère démesurée cachant ma douleur.

- Je suis pas un monstre!!!!

J'ai plaqué ma mère contre le mur, serrant fort mes doigts autour de ses bras. Je voulais juste qu'elle m'aime. Mais elle me détestait. Je respire un instant son odeur que j'aime tant. Puis je la lâche, et je sors en courant de la maison. Je sais pas combien de temps j'ai couru. Je l'ai fait jusqu'à épuisement. J'ai vécu plusieurs semaines dans la rue. Je n'en pouvais plus. J'avais faim. Soif. Froid. J'étais fatigué. Peut-être que j'avais aussi peur que le chien, aujourd'hui. Pourtant je suis pas mort. Enfin je crois pas. Je me tate un peu pour vérifier... Je crois que je suis encore vivant.

Un jour j'ai vu cette annonce dans le journal (que je récupérais par terre ou dans les poubelles). Ils cherchent quelqu'un pour travailler dans cette grande usine.  Alors j'y suis allé, parce que je voulais pas mourir de faim. Ils m'ont pris pour travailler à la chaîne. Je ne me plaignais pas je travaillais bien même si c'était épuisant, ça m'occupait l'esprit et à la fin j'avais un peu d'argent pour pouvoir manger, et on avait même des logements de prêtés à côté de l'usine. Comme ça on pouvait commencer tôt et partir tard. Ca m'allait. Malgré les douleurs physiques, l'épuisement, le bruit incessant des machines... Ca m'allait mieux que le manoir. Bien mieux. Ca a duré comme ça pendant plusieurs années, de très longues années d'ailleurs, puisqu'aujourd'hui j'ai 51 ans, et j'y travaille toujours. Enfin, j'y travaillais... jusqu'à il y a... une semaine.


chapitre IV : je ne suis pas malade

Ma vie était simple. Elle se résumait à travailler, travailler, et encore travailler. On avait pas beaucoup de jours de repos. Ca m'allait parce que de toute façon, j'avais pas grand chose en dehors du boulot. Alors je travaillais dur même si ça m'épuisait de plus en plus au fur et à mesure des années.

Quand j'avais un peu de temps libre, j'allais dehors, retrouver le monde réel. J'étais toujours autant attiré par le feu sans savoir comment l'expliquer. C'était comme une drogue, je pouvais plus m'en défaire et puis je vois pas pourquoi je le ferais, aujourd'hui encore.

Je faisais brûler des choses de plus en plus conséquentes. Jusqu'à... brûler des maisons, par exemple. Mais je suis pas fou, j'attendais toujours de voir sortir les habitants. Je suivais ces gens pendant plusieurs jours, pour les connaitre, savoir qui vivait dans ces maisons, et quand ils sortaient tous, absolument tous... Alors je mettais le feu. Ensuite je m'éloignais, me mettant en hauteur, et j'observais les flammes danser, et dévorer la maison à une rapidité qui m'excitait complètement. La beauté de ce feu... J'étais en admiration totale.

Ca m'arrivait de plus en plus souvent, de faire ça, ou de mettre le feu à des poubelles, ou des voitures. Mais j'ai fini par me faire attraper. Et les diagnostiques, ils disent que je suis fou! Mais je suis pas fou! C'est pas parce que j'aime le feu que je suis fou! Ils m'appellent pyromane... Et ils m'ont emmené dans un hôpital psychiatrique pour quelques mois, pour me faire soigner. Mais soigner de quoi? Je suis pas malade! Je veux juste qu'on me foute la paix...



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MessageSujet: Re: LINCOLN + You're a flame, I'm fire    LINCOLN + You're a flame, I'm fire  EmptySam 23 Avr - 22:09
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MessageSujet: Re: LINCOLN + You're a flame, I'm fire    LINCOLN + You're a flame, I'm fire  EmptySam 23 Avr - 22:10
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